Hurtir Chef de clan Dunlending
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Fiche-personnage Race et Origine: Humain (Dunlending) Bourse: 12 000£ Equipement:
| Sujet: Hurtir Dim 2 Jan - 19:50 | |
| Nom : On me nommait autrefois Hurtir, mais maintenant que j’aspire à un trône, seuls les monarques forts peuvent m’appeler ainsi, si ils tiennent à m’avoir pour ennemi, pour les autres, je suis ‘’Hurtir le Terrible’’.
Race : Je ne fais pas partie de ces misérables humains qui se disent ‘’civilisés’’ pour cacher leur faiblesse. Je ne suis pas non plus une créature comme les elfes, les orques ou toutes les autres… Je suis un homme du pays de Dun, fort, fier, rude, et sans pitié. Je suis né dans ce pays, terre d’exil de nos ancêtres, et j’ai bien l’intention d’unifier les tribus et de devenir le premier roi de Dun, pour qu’enfin notre peuple prenne la place qui est la nôtre.
Sexe : Je suis un homme, sans concessions morales ou physiques au sexe faible.
Physique : Sur le plan purement physique, je suis fort, très fort. Le plus fort de ma tribu, pourtant la plus nombreuse du pays de Dun. Mon endurance est aussi remarquable, rares sont ceux qui peuvent se porter aussi bien que moi dans les rudes conditions de la vie nomade au pays de Dun. Mais sur le plan de l’apparence, je me sais très négligé, ce dont je me vante ouvertement. A quoi bon, tel une femme, se faire beau, ou avoir des attentions pour son apparence ? Un corps fonctionnel me suffit, nul besoin pour l’instant de fanfreluches.
Mais pour ceux que ça intéresse, je suis grand, brun, aux yeux bleus. Grand, cela signifie haut, de forte carrure, imposant et épais. Mes muscles saillants impressionnent nombre de faibles, ce qui est, je pense, un avantage pour un futur monarque, mais aussi très utile pour un guerrier. Ma chevelure est semblable à celle de bien des montagnards endurcis, comme les hommes de Dun. D'une couleur brun foncé, voire noir, elle est fournie et longue, tandis qu'une barbe de même teint, elle aussi longue et épaisse, me couvre tout le bas du visage, et retombe jusque sur ma poitrine. Mes yeux bleus seraient, d'après les flatteurs et autres racailles rampantes, impénétrables. Pour moi, les yeux ne disent de toutes façons rien sur personne, sauf aux mages. Ce physique me donne une allure barbare et rustique, virile et guerrière, qui convient parfaitement à l'idéal du physique de notre peuple. Un homme pur, vrai, fort, exempt de toute les faiblesses de la ''civilisation'', un homme de la race des dirigeants, voué à commander. Quand je serais roi, je réexaminerai néanmoins mon aspect, car il sied à un puissant seigneur de sembler être ce qu’il est.
Moral : Déterminé à unifier et diriger le pays de Dun, prêt à tout pour parvenir à mes fins. Et j’y arriverai, quels que soient les misérables obstacles placés sur mon chemin. Ma vengeance finira bien par advenir, car j’ignore la peur, ne connait pas l’échec et ne tolère pas la moindre contestation à mon autorité. J’arrive sans peine à imposer celle-ci à à peu près tous les hommes et créatures que je croise, je qualifierai donc mon autorité de naturelle. C'est normal, car je fait partie de la race des Dunlendings, l'actuel peuple de Dun. Je suis absolument convaincu de la supériorité de notre peuple sur toutes les peuplades de faibles et d'efféminés qui dirigent actuellement la terre du milieu, qui tirent leurs forces de leurs fourberies et de la corruption qu'ils répandent partout et qu'ils nomment ''civilisation''. Mais je sais que nous vaincrons, et j'espère autant que je crois, que je serai l'artisan de cette victoire. Il ne pourrait en être autrement. Puisque mes hommes seraient prêts à me suivre en enfer si je le leur ordonnais, je pense donc, et je ne me trompe jamais, être charismatique. On me dit très imbu de ma personne, mais ça ne peut être qu’un mensonge colporté par des faibles jaloux de ma puissance.
Telles sont mes qualités morales, si tant est que le moral existe et ne soit pas une invention des ‘’faibles civilisés’’.
Histoire :
Je naquis il y vingt cinq ans, au sein de la plus grande tribu du pays de Dun. Mon père, le chef de la tribu, dirigeait avec la force nécessaire. Mais il était trop faible pour oser tenter de reprendre ce qui nous appartient de droit, et n’a jamais risqué de s’opposer aux dresseurs de chevaux, ni même unifier tout le pays de Dun sous sa coupe. Ma mère, une femme comme les autres, m’a fait suivre l’enseignement des sages dans ma jeunesse, et m’a très tôt laissé à moi-même, pour que se forge l’homme ‘’parfait’’ que je suis devenu. Je sais compter, parler, lire et écrire le langage commun, en plus de la langue du pays de Dun, bien sur, ce qui est rare pour un homme du pays de Dun. Les sages, on appelle ainsi les plus vieux de notre tribu nomade, ne m’ont pas transmis seulement les attributs ‘’civilisés’’ de l’écriture et de la suite des nombres. Ils ont fait le travail qui leur était dévolu, en m’inculquant l’histoire de notre peuple.
Le peuple de Dun, me disaient-ils, a toujours été le plus fort, donc le plus envié, c’est pourquoi il a toujours été trahi. Il y a bien longtemps, le peuple du Dun avait de vastes terres fertiles, il n’avait pas besoin de vagabonder, et avait en abondance de tout ce qu’il désirait… Mais cette perfection fit des envieux, et les perfides dresseurs de chevaux, ces Forgoil, alliés des hommes ‘’civilisés’’ du royaume de Gondor, étaient arrivés. Un seul des nôtres valait au moins dix des leurs, mais leur nombre était tel que la balance pencha en leur faveur. Ils avaient chassé notre peuple dans des terres septentrionales et hostiles, contraignant le peuple fier des hommes de Dun à l’exil. C’est là que notre peuple tomba dans le nomadisme diviseur, qui était nécessaire pour survivre à l’époque, mais qui avait aussi sapé durablement les forces de notre peuple, en empêchant son unité. Longtemps nous avons attendu, mais les conditions étaient dures, et notre peuple ne se régénérait que lentement. Puis un mage étrange nous a tendu la main. Il incorpora à son armée l’essentiel des forces de notre peuple, l’attirant par des mensonges, nous promettant la revanche, et nous trahissant finalement en faiblissant devant les ‘’Têtes de Paille’’. Ces misérables ‘’voleurs du Nord’’ ont profité de l’occasion que leur avait donné le fourbe mage pour tenter de corrompre par une fausse générosité de nombreux hommes de Dun. Mais, même si cela calma notre peuple meurtri pendant quelques décennies, aujourd’hui, la vérité apparait claire. Ces menteurs nous ont abusé, et arraché encore une fois des concessions inacceptables, qui nous faisaient renoncer à reprendre notre terre de droit. Plusieurs siècles après, voilà où nous en sommes : notre peuple est exsangue et disséminé en tribus nomades. Nous avons du mal à survivre. Mais nous sommes restés le peuple élu. Dans nos montagnes, nous avons, seuls, conservé cet esprit originel, pur de tout superflu, libre de toute faiblesse.
De cet enseignement, j’en ai tiré mes conclusions, irrévocables. Tout d’abord, il faut vite unifier le peuple de Dun et le sédentariser, pour qu’il puisse survire. Pour l’unir, il lui faut un chef fort et charismatique : moi. Pour le sédentariser, il faut plus de nourriture, et dans ces montagnes, ou dans l’arrière pays, c’est chose impossible que de nourrir la population d’un ou plusieurs villages suffisamment importants sans justement se déplacer constamment à la recherche de vivres. Une seule conclusion est possible : pour survire à long terme, le peuple de Dun à besoin de terres suffisamment fertiles, donc des terres à reprendre sur le Rohan, seules terres fertiles à proximité.
Ensuite, il y avait la haine à entretenir, et le désir de revanche sur les ‘’Têtes de Paille’’. Il fallait reconquérir les terres ancestrales. Tout revient donc à une chose : il est nécessaire que je prenne la tête de tous les hommes de Dun, chose qui me sera facile, et qu’ensuite, je parvienne à reprendre les terres ancestrales aux ‘’voleurs du Nord’’, pour redonner à notre peuple sa place première, lui rendre son hégémonie naturelle…
Mais l’enseignement des sages n’était pas tout. Je vécus aussi une jeunesse mouvementé, chassant, tuant parfois des vagabonds quand l’occasion s’en présentait. J’ai exercé les fonctions de chasseur, guerrier, bûcheron et bâtisseur. Ma grande et solide hache ne me quitte que rarement. Avec elle, j’ai coupé du bois, des cous, des membres, je m’en suis servi comme masse pour planter nos cabanes de bois, de pelle pour creuser. Mais jamais elle ne m’a trahie. C’est aussi avec elle que j’ai tué pour la première fois, avec elle que je me suis tant de fois défendu, avec elle que je me suis taillé un magnifique bouclier de bois cerclé de fer. Au fil des ans, j’ai donc développé une affinité particulière pour les haches, ce qui fait de moi un guerrier inégalable, une hache à la main.
Le premier pas vers ce but arriva à la mort de mon père. Il lui fallait un successeur. Je n’étais pas celui désigné par les sages, mais je sus conquérir par la force ma place de chef de tribu, en défiant en tuant tout mon opposant. Je m’emparais ainsi du bâton de commandement, qui est le symbole du chef de notre tribu. Maintenant, je suis depuis presque un an chef incontesté de ma tribu, la plus nombreuse du pays de Dun. Fort de ma nouvelle autorité, et dans le but d’unifier sous mon autorité toutes les tribus du peuple de Dun, j’ai fait convoquer un conseil de toutes les tribus de Dun, dans une vallée ancestrale. Je m’y trouve actuellement avec ma tribu, et toutes les autres tribus de Dun, et enfin façonner grâce au conseil mon nouveau royaume…
Equipement : Outre mes vêtements grossiers, j’ai au cours des années glané un équipement rare pour un homme de Dun :
-Hache à une ou deux mains, ma fidèle compagne.
-Bouclier de chêne cerclé de fer.
-Bâton de commandement de la tribu (lourd, solide et vieux bâton gravé).
(Serait-il possible de gagner le dernier équipement (une couronne d’acier) au cours du Rp que je vais commencer pour devenir roi du pays de Dun?)
Capacités : En dépit des vantardises de Hurtir, ces qualités principales sont :
-Sa maîtrise de la hache.
-Une grande force physique
-Une endurance à toute épreuve
-Son moral de fer
-Un certain charisme (dû à son apparence, à ses actions, à son moral et son franc-parler, bref, un charisme naturel, quoi XD).
Groupe auquel vous voulez être rattaché : Heu, c’est quoi le groupe du pays de Dun ?
Niveau de Rp : Je pense pas trop mauvais, sans être mirobolant, vous pourrez juger par vous-même par la suite.
Découvert grâce à : Google.
Pourquoi ce forum : Parce qu’il est sur le quatrième âge du SDA (seigneur des anneaux).
Dernière édition par Hurtir le Lun 3 Jan - 22:08, édité 1 fois | |
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