[24/10/08] Le coup final

Mais, la surprise passée les soldats, presques dix fois plus nombreux, repoussèrent les uruks, leur infligeant des pertes lourdes, jusqu' en dehors de la ville. Ou les uruks commencèrent le siège.
[je modifierais ton profil à la fin du combat]

[mouai perte lourde , eux aussi ]

La alni furent repoussé nombreux furent mort et alni se retira loin des fleches et chercha un point d'attaque.

Alni et ces soldat se repliérent au camp du roi du mordor , cette cité prise l'ithilien serai définitivement au mordor . Alni s'approcha du roi et s'inclina puis dit :

- Maitre que puis-je faire ?

Il attendit une réponse ...

Il y vit l' interieur de la ville assiègée. Un homme, l' héritier du seigneur qui dirigait la ville, était sur la place publique et clamait à ses concitoyens que la seule chance de survie était de se rendre et de s' allier aux assiègeant. Ainsi, les assiègeants se montreraient cléments avec ceux qui les rejoindraient. Les hommes présents sur la place l' écoutaient attentivement.
Puis, Delekhan vit que cet homme et ces alliés étaient prêts à trahir leurs compagnons en ouvrant les portes de la ville et en se mettant au service du mal, à condition d' avoir une récompense.
Delekhan savait quelle récompense demanderai l' héritier en échange de son allégeance:
la fille d' un simple paysan indépendant qui osait lui tenir tête et refuser ses avances, au profit de celles d' un serviteur du palais. Tout deux étaient dans la ville, et il serait facile, une fois la garnison battue, de lui accordrer ce qu' il désirait, en suprimant au passage le serviteur.
Il lui serait facile d' entrer en contact avec l' héritier et ses alliés (une centaine d' hommes au moins) et de créer un plan d' attaque.

L' héritier fut au rendez-vous. Il s' inclina et parla à Delekhan:
"Seigneur, moi et une centaine d' hommes sont d' accord sur le fait que vous aider est la meilleur des solutions. Je suis prêt à ouvrir les portes et neutraliser la garde principale, de sorte que vous n 'ayez devant vous, à l' interieur de la ville, que quelques centaines de soldats surpris dans leur sommeil, et quelques miliers de villageois et villageoise sans défenses.
Je ne vous demanderais en échange de ma loyautée et de celle de mes soldats qu' une seule chose: disposer de la fille d' un paysan, saine et sauve. Vous n' aurez qu' a suprimmer dans la foulée son petit ami, un serviteur du palais. Cela vous va-t-il?"

Lorsque les portes s'ouvrirent pour laisser place aux assiégeants, les les traîtres tendirent des flambeaux au ciel afin de prévenir les ennemis du Gondor. Les forces du mal pénétrèrent donc dans Amon Barad attaquant alors les habitants et les soldats fidèles alors que tous étaient à peine réveillés.

Des cris se firent entendre laissant imaginer les horreurs que les orcs commettaient...

C'est alors que le bastion était à moitié pris que la résistance réussit à se mobiliser un temps soit peu. La garnison ou ce qu'il en restait, se concentra dans le petit donjon au centre de la forteresse. Depuis les meurtrières ils tiraient des flèches sur les ennemis tuant ainsi pas mal d'orcs. Ils avaient barricadé la porte de bois et de fer mais nul ne savait à l'extérieur du donjon combien ils étaient et comment ils avaient protégé la porte...

Bientôt, toute résistance fut anihiliée, à l' exeption d' un groupe d' une centaine de soldats sur la plus grande place, qui luttait désespérement, se battant pour l' honneur et les civils, qui étaient sans défenses, maintenant que la ville n' était plus défendue que par ces hommes regroupés.
Les uruks ne purent s' empêcher de piller et semer la désolation parmi les civils sans défenses, barricadés dans leur maisons et morts de peur.


Profils mis à jour. Vous gagnez de l' exp de combat.

Vous ne perdez aucun homme, les sbires de l' héritier aillant bien travaillé, mais vous gagnez de l' argent.
Le conseiller à sa récompense (on suppose que vous lui donnez la fille qu' il veut, même si c' est contre son gré).

En effet, cela ne me gêne guère