Au fil de l'histoire

Voila, je lance nouveau jeu sympa. Le but de celui-ci est simple : Ecrire une histoire en commun mais il ne faudra écrire qu'une seule phrase à chaque message. Mettez votre phrase en couleur à chaque fois pour qu'on repère ce que vous avez écrit
Voici un exemple :

Elfwine : Petit con prétentieux, pensa Jack Torrance.

Valarion : Petit con prétentieux, pensa Jack Torrance. Ullman mesurait tout juste un mètre soixante et il avait les gestes brusques et secs des hommes petits et gros.

Erzan : Petit con prétentieux, pensa Jack Torrance. Ullman mesurait tout juste un mètre soixante et il avait les gestes brusques et secs des hommes petits et gros. La raie de ses cheveux était impeccable, son complet sombre strict mais rassurant.Voila l'idée générale ; on ne va quand même pas écrire un livre mais une petite histoire serait sympa ^^. Bon je commence avec la première phrase:

La nuit de novembre était froide et venteuse.

La nuit de novembre était froide et venteuse.
Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'emplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir.
Mais alors le bruit s'arreta...

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'emplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'intalla alors, mais celui-ci fut de court durée car quelque instant plus tard, une pluie torrencielle s'abattit sur la citadelle blanche.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'emplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, sait-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'intalla alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluie torrencielle s'abattit sur la citadelle blanche.
On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'emplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée carquelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit.
Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes.
Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes.
Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle...

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... .

(J'aurais bien aimée mettre : découvrit un oiseau qui tapait au carreau, mais ça cassait un peu l'effet de mystère et de suspens qu'on avait mis avant, nan?! ^^)

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina.

[Je crois que je vais m'y mettre, à ce petit jeu ^^]

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La surprise cloua le roi du Gondor sur place un instant, avant qu'il ne se remette de sa surprise. Il se redressa et s'apprêtait à parler quand...

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La surprise cloua le roi du Gondor sur place un instant, avant qu'il ne se remette de sa surprise. Il se redressa et s'apprêtait à parler quand...
Un bruit de pas ce fit entendre : le roi se retourna, près au combat. Devant lui ce dressé :....

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La surprise cloua le roi du Gondor sur place un instant, avant qu'il ne se remette de sa surprise. Il se redressa et s'apprêtait à parler quand...
Un bruit de pas ce fit entendre : le roi se retourna, près au combat. Devant lui ce dressé :.... une armé de Rhun

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La surprise cloua le roi du Gondor sur place un instant, avant qu'il ne se remette de sa surprise. Il se redressa et s'apprêtait à parler quand...
Un bruit de pas ce fit entendre : le roi se retourna, près au combat. Devant lui ce dressé :.... une armé de Rhun. Enfin, armée était un bien grand mot, il n'y avait en effet qu'une dizaines de soldats, mais, bien que le roi ne le sache pas encore, près de 15 000 autres soldats attendaient, a quelques km's de la, de lancé l'assaut sur la ville !

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La surprise cloua le roi du Gondor sur place un instant, avant qu'il ne se remette de sa surprise. Il se redressa et s'apprêtait à parler quand...
Un bruit de pas ce fit entendre : le roi se retourna, près au combat. Devant lui ce dressé :.... une armée de Rhun. Enfin, armée était un bien grand mot, il n'y avait en effet qu'une dizaines de soldats, mais, bien que le roi ne le sache pas encore, près de 15 000 autres soldats attendaient, a quelques km's de la, de lancé l'assaut sur la ville ! Ces soldats n'attendirent pas pour se jeter sur le roi du Gondor, tandis que l'armée véritable n'attendait qu'un signal pour prendre d'assaut Minas Tirith.

La nuit de novembre était froide et venteuse. Les nuages couvraient le ciel noir au-dessus de Minas Tirith. Mais le roi du Gondor se tenait dans sa chambre, près d'un feu paisible et chaud, feuilletant quelques papiers importants. C'est alors qu'il entendit un bruit étrange provenant de la porte de bois verrouillée donnant sur la salle du trône.
Le tirant d'une lecture un peu ennuyeuse, ce bruit ne lui parut que trés peu suspect au début mais lorsqu'il s'amplifia pour devenir des coups réguliers, il rejeta les feuilles sur la table et se leva.Il s'approcha de la porte avec précaution, c'est-on jamais, et s'apprétait à l'ouvrir. Mais alors le bruit s'arreta...
Un nouveau silence s'installa alors, mais celui-ci fut de courte durée car quelque instant plus tard, une pluis torrencielle s'abbatit sur la citadelle blanche. On voyait par la fenêtre les gondoriens courir pour se mettre à l'abri. Après quelques minutes, le ciel se calma, et le silence reprit. Lui aussi fut de courte durée, car le bruit reprit, s'amplifiant avant de s'éteindre de nouveau, remplacé par des pas rapides et des voix chuchotantes. Le roi, ne pouvant ignorer un instant de plus ces bruits, ouvrit promptement la porte, restant tout de même sur ses gardes.
La salle du trône était remplie de...vide, rien ni personne ne bougeait cependant le roi du Gondor ne pouvait ignorer cette présence menaçante et invisible qui émanait de la salle... . Il s'arma alors de son épée, et parcoura la salle à la recherche d'une quelqueconque trace. Lorsqu'il s'approcha de la fenêtre, le bruit retentit une nouvelle fois. Il se pencha alors pour voir, et découvrit... un garde de la citadelle qui semblait fort préoccuper et qui tambourriner à une porte en contrebas.
Le roi resta un instant immobile, sous le coup de la surprise puis se décida à s'avancer pour demander au garde ce qu'il faisait ici et pourquoi il tambourinait à cette porte mais, avant qu'il n'ai pu arriver à sa hauteur, le garde se retourna, le vit, et s'inclina. Il s'écria ensuite, effaré :

"Votre altesse, un ennemi s'est infiltré dans le château !"

La surprise cloua le roi du Gondor sur place un instant, avant qu'il ne se remette de sa surprise. Il se redressa et s'apprêtait à parler quand...
Un bruit de pas ce fit entendre : le roi se retourna, près au combat. Devant lui ce dressé :.... une armée de Rhun. Enfin, armée était un bien grand mot, il n'y avait en effet qu'une dizaines de soldats, mais, bien que le roi ne le sache pas encore, près de 15 000 autres soldats attendaient, a quelques km's de la, de lancé l'assaut sur la ville ! Ces soldats n'attendirent pas pour se jeter sur le roi du Gondor, tandis que l'armée véritable n'attendait qu'un signal pour prendre d'assaut Minas Tirith. Vaillamment le roi du gondor dégaina Andùril et pourfenda deux des ennemis présents devant lui. Il appella alors :
-Gardes!
Mais il n'eus pas le temps de parler que trois hommes se ruaient sur lui. En position de défense le roi attendait vaillamment le choc. Cependant un bruit sourd se fit entendre d'une fenêtre. Un archer était présent, caché par une capuche il avait un arc et avait décoché une flèche qui arriva en pleine tête d'un des assaillant qui s'écroula à terre. C'est à ce moment que les gardes apparurent et entrèrent dans la salle. Les deux soldats prirent peurs et s'ennuièrent vers le reste du groupe. Cependant l'archer eu le temps de décocher une nouvelle flèche qui alla se loger dans le cou d'un des fuyard. Un des gardes présent dans la salle lança sa lance qui se planta dans le dos du dernier. Le combat était maintenant plus égale. Le par terre était désormais transformé en mare de sang et en champ de bataille.