[21 juillet 2009] Vos demandes.

[Comme vous pourrez vite le constater, c'est ici que l'on m'emploi.]

Rhane attendais toujours la réponse de la guilde. Mais il ne voulais pas rester sans rien faire. Il s'installa donc sur une chaise qu'il avait placé là affiche. Il se trouvait dans une des ruelles les plus mal famée et des plus connus par les employeurs d'assassins et de voleurs. Toutes les personnes qui voulaient employées des assassins ou des voleurs savaient les reconnaitre et Rhane était, pour les employeurs, très reconaissable car il avait planté sa dague dans le mur derrière lui. Ce qui était un signe. Il resta là à attendre.
Au bout de quelques minutes un homme vint devant moi.
-Que voulez vous? demandais-je.

L'homme était habillé de riches vêtements pourpre et or.
Il avançait dans la rue, d'un pas hésitant, et pas très rassuré.
Il sursautait au moindre bruit et lorsque que des rats passaient devant lui. Il évitait la moindre petite flaque de boue, et avait porté la main au visage pour ne pas respirer l'odeur de cadavre.
Il s'arrêta devant Rhane et répondit à sa question d'une voie étouffée :

-Vous êtes un assassin ?

-Bien sûr !

-Eh bien en faite, vous aller trouver ça sot mais ma femme m'a trompé avec mon jeune et riche voisin...

L'homme avala ça salive et repris d'un ton rude et en parlant de plus en plus fort:

-Je veux que vous le tuiez !!! Faites le souffrir ce maraud ! Et je voudrais aussi que vous lui dérobiez une dague de grande valeur qu'il garde jalousement dans un coffre, chez lui.

-Ne criez pas si fort monsieur. C'est la première fois que vous avez recours à un assassin n'est ce pas? Bien j'accepte d'assassiner cet homme et de voler la dague. Mais encore une chose, donner moi toutes les informations que vous disposez sur lui, sa maison, si elle a des étages, combien, si elle est gardé, dans quelle pièces se trouve ce fameux coffre et que pourrais-je voler à par cette dague pour mon propre compte?
Je regardais l'homme avec mépris, il était de ces hommes riches qui engage n'importe qui pour n'importe quel caprice.
Il n'a même pas vu que j'étais un assassin du premier coup d'oeil. Je pense que si je lui avait dit que j'étais le roi Valarion il se serait agenouillé devant moi, pensai-je.
Je me demandais ce qui me retenais de lui planter mon couteau dans la gorge et m'enfuir en courant. L'argent, oui c'était l'argent.
Après avoir un peux réfléchit, l'homme me répondit:

L'homme baissa d'un ton et repris :

-Euh d'abord c'est au troisième niveau, là où habite tous les bourgeois, ensuite sa maison est en face de la mienne, après il paye un mercenaire pour veiller devant ça porte de maison la nuit et je vous préviens c'est une vrai boule de nerf il ne dort jamais.
Après la dague est dans un coffre et pour les vols d'intérêt personnel je ne sais pas quoi et où, ce n'est pas moi qui ais couché avec lui, il faut demander a ma femme.

L'homme commençait à s'embrouiller.

-Ben très bien j'y vais. Vous rentrez chez vous et ne vous occupez de rien.

Je me levai de ma chaise et me dirigeai vers le troisième niveau. J'aimai avoir à faire à des bourgeois. Avec leur richesse et leur arrogance.
Je marchais à pas rapide vers la maison de l'homme.
Quand je fus arrivé à 10 mètres de la maison indiquée, j'aperçus un homme faisant la ronde autour de la maison. Il faisait noir et je pensai que ce serait facile. J'hésitai entre le tuer ou alors le faire accuser de meurtre. Une fois décidé je me dirigeai vers la maison en passant par le jardin d'une autre, voisine. J'attendis que le garde passe et que je ne le vis plus pour sortir d'un petit buisson. Je vis une fenêtre et entrepris d'escalader le mur et d'y accéder grâce à mes chaussures.
Après être arrivé devant la fenêtre, j'entendis le bruit de pas du garde qui se rapprochait. Il fallait faire vite. Je montai sur le toit qui était juste à ma gauche et qui faisait comme une passerelle. Je montai dessus et attendis que le garde passe.

Malheureusement pour Rhane le garde s'arrêta en dessous de la fenêtre pour fumer.
Il décida donc d'en profiter pour rentrer sans bruit par la fenêtre.
Mais la chance n'était décidément pas avec lui, lorsqu'il s'apprêtait à rentrer, il fût surpris par la lumière qui s'alluma.
Rhane avait visé juste, c'était bien la chambre de l'homme, qui se levait d'ailleurs pour aller uriner.
Mais la surprise fût trop grande, Rhane lâcha prise et tomba lestement trois mètres plus bas sur le garde.

Bilan : -Le garde est mort sur le coup.
- Tu perds 5 PV à cause de la chute.
-La cible urinait et n'a rien entendue, elle va se recoucher.

Je restai quelques instants encore allongé sur le corps froid du garde à écouter les bruits de la nuit pour savoir si une personne venait. Une fois m'être assuré que personne ne m'avais entendu, je décidais de grimper une nouvelle fois sur le mur pour atteindre la fenêtre. Après avoir mis plus de temps que prévu, j'ouvrai doucement la fenêtre sans le faire grincer et entrai, une jambe après l'autre. Là se trouvait un lit mais personne dedans. Je pensai qu'il était parti boire ou une chose comme ça. Je décidai de me cacher dans le placard, dague à la main, puis j'entendis des pas lourd comme si la personne était très fatiguée. La porte s'ouvrit en grinçant.

En effet l'homme tenait à peine debout, il avait surment dû se saouler le soir même, il ne prêta donc aucune attention aux bruits et à la porte du placard entrebaillée.

Il se jeta comme une masse sur son lit, une minute à peine il s'était rendormi.

Rhane avait maintenant le loisir d'agir à sa guise.

Je m'approchai de l'homme et sorti ma dague, j'étais à un mètre de son lit et je sentais quand même son odeur putride.
Je plaçai ma dague sur son cou et le réveillai.
Quand il eut ouvert les yeux, il eut d'abord un mouvement de panique et gesticula dans tous les sens, le tenant d'une main ferme je lui chuchotai à l'oreille ces quelques mots :

-On m'a envoyé pour t'assassiner, mais je pense que tu as de l'argent en abondance, si tu me dis où tu cache la cache, tu auras la vie sauve. A moins que tu ne préfères mourir car ainsi nous pouvons être très facilement d'accord. Montre moi du doigt où tu cache tous tes objets précieux et ton argent, n'essayes pas de t'échapper sinon tu ne pourras plus jamais rerouver cette femme que tu as volé au coeur d'un homme. Allez montre moi.

Il eut d'abord un geste brusque, mais une fois qu'il eut comprit qu'il ne pouvait rien faire, il montra du doigt une malle.

-Hé bien tu vois ce n'étais pas si compliqué, maintenant je n'ai plus besoin de toi, adieu mon ami, mais ne t'inquiète pas tu ne seras pas le seul à... (petite pause de parole)...mourir.

Sur ce, je tranchai la gorge du malheureux sans allez trop vite pour lui faire comprendre que tout était fini avant son repos éternel. Au bout de quelques 30 secondes, sa respiration s'arrêta et son pou diminua jusqu'à devenir nul.
"Il possible d'arrêter sa respiration, mais pas son pou, il n'y a aucun doute, il est bien mort, pensais-je"

Je me dirigeai tous d'abord vers le coffre où devait se trouver la dague, il y avait dessus un cadenas fort vieux et fort abimé. Il ne me fus donc pas difficile de le détruire. Je trouvais à l'intérieur la dague que je pris et que j'accrochai à ma ceinture sans plus y prêter attention.
Je me dirigeai vers ce qui m'obsédai le plus, la malle. Je m'avançais vers lui. Elle était aussi fermé par un cadenas qui ne fut pas non plus difficile à casser tellement il était rouillé. J'ouvris alors celle-ci et découvris une multitude pièces à demi éclairées par une chandelle placée sur une table de chevet. Je refermais la malle et descendis au rez de chaussée pour trouver un sac. Une fois arriver dans la cuisine, je trouvai un sac qui m'avais l'air assez solide. Je remontai alors avec le sac, j'ouvris la malle et remplis le sac de pièces. Une fois le sac plein, je redescendis les escaliers et sortis. Le sac étais assez lourd et je mis du temps avant d'arriver à un de mes trois repères (1 au niveau 0, 1 au niveau 1 et 1 au niveau 2) placé au niveau deux.
J'ouvris une vieille malle pleine de tapis et vidai le contenu du sac dans cette malle une pièce par une pour les compter.

PS= j'ai rendez-vous avec mon commanditaire à 8 heure du matin.

HRP= Je te laisse le soin Ulmo de définir le montant. [21 juillet 2009] Vos demandes. 661778

^^

L'homme mort, Rhane fouilla la maison, il trouva mainte richesse (2 535£ d'après les dés Wink

).

Après avoir planquer son butin il sortit dehors au petit jours, le gars attendait déjà à la maison en face, il était à ça fenêtre une bourse en main, attachée au bout d'une corde.
Il héla Rhane discrètement, pour attirer son attention.

"Avez vous fait votre travail ? Où est la dague et est il mort ?"

-L'homme est bien mort et j'ai reussi a avoir la dague, dis-je à assez haute voix pour faire peur à l'homme mais assez petite pour que personne n'entende.

Après avoir savouré quelques instants le visage apeuré de l'homme, je lui dis ceci:

-Lancer la bourse et je vous lancerai la dague.

Une fois que j'eus attrapé la bourse et que j'eus lancé la dague à mon ancien employeur, je lui lançais c'est mots pour ajouter plus de détresse à son visage:

-N'oubliez pas que désormais vous n'êtes plus mon employeur, et je connais des hommes intéressé par votre tête. Faites attention aux poignards dans la nuit.

Et ayant compté les pièces dans la bourse je repartis en ricanant.

L'échange s'effectua avec la corde, ainsi chaque objet arriva à son destinataire en même temps.

"J'y ais mis le prix 2 000£, j'espère ne plus vous revoir même pas un couteau sous la gorge."

Lança l'homme très effrayé par les propos de Rhane.
Il ferma les volets et la fenêtre, jetant un regard par l'embrasure pour voir l'assassin partir.
Ensuite il admira la belle dague incrusté de pierre qu'il alla caché dans son coffre tout neuf.

Bilan :

Tu remporte sur ce coup 4 535£ et tu est libre d'agir maintenant !