Nom : Rûdaz
Race et Origine : Rûdaz est un oriental de Rhûn
Sexe : Masculin
Age : En l'an 300QA, Rûdaz est alors âgé de 32ans.
Physique : Rûdaz est loin d'être un homme commun parmi les orientaux. Sa première particularité sont ses cheveux couleur de l'or, qu'il arbore avec fierté, bien qu'ils soient coupé court. Sa seconde particularité sont ses yeux couleur du ciel. Ces deux atouts physique ont déjà séduit de nombreuse dame en Rhûn. Ce sont les seul éléments qui le caractérise des autres orientaux. Mesurant 1 mètre 78, sa taille est plutôt commune pour un oriental, et sa musculature, bien que développé, ne l'est pas plus qu'un soldat ordinaire. En fait, il a une taille plutôt svelte, lui permettant d'esquiver les coups avec une facilité déconcertante. Malgré son jeune âge, Rûdaz a de nombreuse cicatrices et balafre, témoignant de sa vie faite de combats et de violence. La plus remarquable est une balafre lui lacérant la paupière droite, sa toute première blessure qu'il a reçu étant adolescent. La seconde est une énorme cicatrice recouvrant sa paume gauche, seul signe visible d'une blessure lui ayant rendu insensible toute la main gauche.
Ainsi est Rûdaz.
Mentalité : Rûdaz garde de grand traumatisme de son enfance (voir histoire), qui ont influencé son développement moral. Tout d'abord, il souffre d'une certaine paranoïa, quoique une fois sa confiance accordé à quelqu'un, elle l'est définitivement, et sa loyauté envers ses amis et ce qu'il aime est infaillible. Ensuite, il ne laisse jamais un camarade, ayant acquis ou non sa confiance, derrière lui. Il a risqué sa vie un nombre incalculable de fois pour sauver des soldats d'une mort certaine, et il y est toujours parvenu. Ce fait a entrainer chez lui deux défauts majeur : l'arrogance et la vanité. Rûdaz est en effet fier de ses capacités martiales, et il est persuadés que rien ni personne ne peut le vaincre en combat rapproché. Rûdaz est un commandant proche de ses hommes, et sa place est toujours au cœur de la mêlé où ses hommes peuvent le voir et s'inspirait de lui. Le comportement de Rûdaz avec les femme reste étrange, l'abandon de sa mère et la mort de son premier amour l'ayant traumatisé à jamais. Il est doux avec elles, et s'attache très facilement, mais ne l'exprime jamais et il ne reste que rarement avec elles, de peur de souffrir de nouveau. Il est inséparable de Baisheuin, qui est devenu comme un frère pour lui. Rûdaz vois également le monde différemment des autres orientaux : pour lui, le Gondor n'est plus un ennemie, mais seulement une nation plus puissante avec qui ils pourraient tout aussi bien commercer ou guerroyer. Deux obsession guide désormais sa vie : découvrir les assassins de son père, et retrouver sa mère. Et si il le faut, maintenant qu'il est puissant, il mettra à feu et à sang la Terre du Milieu.
Ainsi est et pense Rûdaz.
Histoire : Voici l'histoire de Rûdaz tel qu'elle est connue en Rhûn. Beaucoup la pense romancé, mais ceux qui connaisse Rûdaz savent que tout est exacte.
Rûdaz est né le 14 février 278Q.A dans la cité de Tset-Habaor.
Son père, Harnâz, était le seigneur de la cité, mais aussi un grand chef d'armée dont la renommé dépassé les frontières et dont le charisme et les capacité de meneur étaient reconnu de tout Rhûn. Il était un homme extrêmement puissant et beaucoup comptait sur lui pour rendre sa gloire passé au royaume.
Sa mère était une rohirrim, dans un premier temps esclave, mais qui avait réussi à conquérir le cœur du valeureux seigneur de la cité, et était devenu sa compagne légitime.
Ainsi, dés sa naissance, Rûdaz était un être d'exception en Rhûn. Certains voyait en lui un bâtard qui usurpera les droits des véritables orientaux, d'autres ne voyait en lui que l'héritier de son père qui mènera Rhûn vers une gloire nouvelle.
Les première années de la vie de Rûdaz furent sans doute ses plus belle. Il grandit jusqu'à l'âge de quatre ans heureux avec son père et sa mère. Mais nul ne sait pourquoi, peu de temps après son quatrième anniversaire, sa mère quitta Rhûn et retourna en Rohan, abandonnant son fils ici. On dit que Harnâz ne tentât même pas de l'en empêcher, et ainsi, l'un des hommes les plus influents de Rhûn se retrouva seul avec un fils de quatre ans, et dû l'élever en lui cachant que sa mère l'avait belle et bien abandonnée. Rûdaz fût donc élevé exclusivement par son père jusqu'à l'âge de neuf ans, celui-ci refusant que des nourrices s'occupe de lui. Ainsi son père lui apprit le maniement des armes et lui fit explorer le royaume, instaurant en lui des idées de grandeurs et de gloire. Il emmené son fils partout où il allait, que se soit en conseil de guerre ou même au combat. Les hommes découvrir en lui une nouvelle facette, celle d'un père bienveillant et fier de son descendant, et ils l'adulèrent d'autant plus. Rûdaz, avant même d'avoir atteint l'âge d'homme, était déjà connu de tout Rhûn et même du reste de la terre du milieu. Le Haut-Roi du Gondor lui même eut vent de rumeur concernant un charismatique seigneur oriental et son jeune fils. Cette adulations par le peuple de Rhûn en effrayé malheureusement plus d'un...
Une nuit alors que Rûdaz n'était âgé que de neuf ans, sa vie bascula une nouvelle fois. Alors qu'il déambulait dans les halls du palais à une heure avancé de la nuit, un cri déchira l'air. Rûdaz, malgré sa frayeur, reconnu la voix de son père. Ils se précipita alors à travers le palais, passant en courant devant des serviteurs émergeant de leur sommeil, jusqu'à arriver devant la porte de l'appartement de son père. Son cœur semblât s'arrêter alors qu'il découvrit un garde gisant mort devant la porte ouverte. Il était pétrifié, malgré tout il réussit à surmonter sa peur et pénétra dans l'appartement. Le sol était recouvert de sang, deux autres garde gisait là. Et, au pied du lit, Rûdaz découvrit le corps sans vie de son père, en robe de nuit, tenant toujours son cimeterre serré dans sa main. Alors Rûdaz ne pût plus retenir ses larmes. Il se jeta sur le cadavre de son père, et l'étreignit de toutes ses forces, de chaudes larmes ruisselants sur ses joues, et sa tunique s'imbibant de sang. Les premier gardes à arriver le trouvèrent comme ça. L'activité dans le palais devint alors frénétiques, tout hommes armées cherchant les assassins dans tout les recoins du château. Personne ne semblait se soucier du jeune Rûdaz. Sauf un homme. Khûrgaz, un capitaine loyal à Harnâz, et un de ses amis eut non seulement pitié, mais aussi peur pour le jeune garçon. Alors que tous cherchaient les meurtriers, Khûrgaz retourna dans les appartements du seigneur, et il y découvrit le jeune Rûdaz toujours accroché au corps de son père. Délicatement, il s'approcha de Rûdaz, le prit dans ces bras, et s'éloigna du corps. Rûdaz ne protesta pas, il attrapa seulement le cimeterre des doigts raidis de son père et se laissa aller. Khûrgaz sortit du château, le jeune garçon toujours dans ces bras, et l'emmena chez lui, là où les assassins ne pourrait jamais le trouver. Puis il retourna au palais et clama que l'héritier de Harnâz avait disparu. Ainsi, cette nuit ci, Rhûn entier crut que le père et le fils avait péri.
Mais Rûdaz n'était pas mort. Khûrgaz, n'ayant aucun enfant, le présentât à tous comme étant son fils, un jeune garçon qu'ils avaient adoptés avec sa femme, et nommés Rûdaz en souvenir de l'enfant du seigneur disparu. Personne ne savait qui avait commandité l'assassinat, et Khûrgaz était bien décidé à sauver cet enfants auquel il s'était attachés. Quand à Rûdaz, il s'enferma sur lui même pendant des mois, mais avec le temps, il reprit goût à la vie, et traita Khûrgaz comme un nouveau père. Le capitaine et le garçon se révélèrent vite très complice et un lien indestructible se créa entre eux. Khûrgaz continua à lui apprendre le maniement des armes et il l'inscrivit dans une école militaire de renom. La vie de Rûdaz semblait être devenu normal, celle d'un garçon issu de la petite noblesse.
Et pourtant sa vie chamboulât de nouveau dans sa quinzième année, lorsqu'il découvrit l'amour. Il tomba fou amoureux de la jeune fille d'un ami de Khûrgaz. Son éducation semblât soudain sans intérêt et il profita de ces mois de bonheur avec passion. Mais Rûdaz ne semblait pas destiné à connaître un bonheur durable. Un soir, alors qu'ils se promenait dans un quartier pauvre de la cité, ils furent attaqués par des bandits. Rûdaz s'interposât, mais il n'était pas armée. L'un des hommes failli lui crever l'oeil droit avec un coutelas et il reçu rapidement un coup de gourdin qui le fit s'évanouir. Lorsqu'il se réveillât, quelques heures plus tard, il découvrit le corps de celle qu'il aimait, nu et gisant dans une marre de sang. Alors, s'éveillât en lui une rage sans nom. La vision toujours brouillé par le sang chaud ruisselant de sa blessure, il amena le corps dans la demeure de Khûrgaz, puis il chercha pendant des heures l'épée de son père, seul chose qui lui resté de lui. Lorsqu'il la retrouva, il la nomma Draeswir, la Lame de la Vengeance. Armé de Draeswir, il écuma la ville pendant des jours et des jours à la recherche des meurtriers, n'écoutant pas Khûrgaz qui le suppliait de cesser. Il découvrit finalement les trois bandits dans une taverne miteuse, par une nuit sans lune. Les trois brigands ne semblait lui accordait aucune attention. Alors, il dégaina Draeswir, et s'approchant tranquillement, décapita d'un mouvement souple le premier. Alors que les deux survivants ne réalisé toujours pas ce qui se passait, il bondit sur la table et transperça le cœur du second. Puis il plongeât ses yeux rempli de haine dans les orbites apeurés du troisième. Celui ci était tétanisé par la peur et par l'incrédulité. Alors, Rûdaz s'approche de lui, puis il le trancha en deux, de l'épaule au bassin. Couvert de sang, sans un un mot, Rûdaz rengaina son armes puis sortit. Dès lors il ne semblait plus avoir de raison de vivre.
Khûrgaz ne pouvait toléré de voir celui qu'il considéré comme son fils dans cet état là. Pendant deux ans il tenta de le raisonner, de lui faire accepter ce qui s'était passer, mais en vain. Alors, Khûrgaz estima que seul l'amitié pourrai le sortir de cet état. Et les amitiés les plus fortes se forge dans les horreurs de la guerre.
Ainsi, Rûdaz intégra une armée en partance pour le Khand, afin d'annexer de nouveau territoire pour Rhûn. Bien qu'il aurait pu être un officier cadet, Rûdaz choisi de s'enrôler dans l'infanterie, en temps que simple soldats. Lors des premiers combats, Rûdaz se démarqua par son adresse à l'épée, sa cruauté, et sa volonté d'annihiler l'ennemie. Il était toujours le premier dans la mêlé, et le dernier à quitter le champ de bataille. Mais un jour, une bataille tourna en défaveur des forces de Rhûn, et alors que tous se replier, un soldat blessé par une flèche à la jambe, resta derrière et hurla de douleur. Ce fût peut être ce cri qui le changeât, quoiqu'il en soit, les trois années de quasi non-vie de Rûdaz s'achevèrent à cet instant. Il fit demi tour, et se précipita vers le soldat tombé. Dégainant Draeswir, il se campa devant le corps du soldat et affronta les Variags qui se ruèrent sur lui. Il en tua un, puis deux, puis trois, puis il perdit le compte. Quoiqu'il en soit, un immense Variags se rua dans son dos au moment où il n'y prêté aucune attentions. Son épée toujours enfoncer dans le corps d'un Khandéen agité de spasme, il eut pour seul réflexe de levé sa main gauche. La hache lui broya la main et il s'effondra à terre. Alors le soldat à terre, qui ne faisait rien d'autres que regardais ahuri Rûdaz, attrapa sa hallebarde, et usant des forces qu'il lui rester, se redressa et asséna un violent coup au guerrier ennemie qui s'effondra mort. Rûdaz pivota la tête et leurs regards se rencontrèrent. Une amitié venait de se forger. Rûdaz hissa le soldat sur son dos et se précipita vers ses lignes, abandonnant une bataille perdue. Avant de s'évanouir du fait de sa blessure, l'oriental eut le temps de lui dire son nom : Baisheuin.
Baisheuin survécut à sa blessure et une amitié extrêmement forte se tissa entre les deux hommes. Baisheuin, tout différent de Rûdaz qu'il était, réussi à lui rendre le sourire. Bien qu'il l'ignore toujours, ces à cette période que Baisheuin sauva Rûdaz corps et âme. La guerre se continua, avec ses hauts et ses bas pendant trois ans. Les combats se succédaient, et les deux hommes ne se séparait pas. Un jour, une bataille tourna de nouveau en faveur des Khandéens, et alors que le général de Rhûn abandonnait ses hommes pour fuir, Rûdaz démontra ses qualités de meneur. Il regroupa derrière lui tout les hommes laissait à l'abandon, usurpant l'autorité des officiers de terrains toujours présent, et il les exhorta à tenir bon et à former un mur de bouclier où viendrait s'empalait l'ennemie. Les rares hommes qui ne le suivirent pas furent tués, alors que quasiment tous les autres survécurent et remportèrent la bataille. Une fois l'ennemie vaincu, l'armée porta en triomphe Rûdaz jusqu'au camp, où le général fut abasourdi de voir rentrer son armées en ordre et victorieuse. Lorsque Rûdaz s'approcha de son chef, il se contenta simplement de lui dire qu'il prenait le commandement, et qu'il fallait qu'il rentre chez lui. Le général lui rit au visage, et dégainant son épée, le provoqua en duel. Rûdaz le releva devant l'armée en délire, dégainant Draeswir, il attendit la charge. Celle ci ne se fit pas attendre, et en quelque passe, il désarma son adversaire et le mit à terre. Alors qu'il lui tournait le dos afin de saluer ses hommes, le lâche sortit une dague et se précipita sur le dos de Rûdaz. Il s'écroula à un mètre du nouveau commandant, la pique d'une hallebarde entre les omoplates. Lorsque Rûdaz se retourna, Baisheuin se contenta de hausser les épaules en extrayant sa pique du corps sans vie.
Ainsi, à l'âge de vingt-trois ans, Rûdaz s'était hisser à la tête d'un armée, et avait fait de Baisheuin son second. Il continua la guerre pendant deux ans et annexa une portions de terres non négligeable pour la gloire de Rhûn. Lorsqu'il rentra à Rhûn, se fût en commandant de renom et auréoler de gloire. Il passa une année entière à Tset-Habaor, profitant de sa famille, multipliant les conquête amoureuse et éphémère et jouissant du repos du soldat, avec son ami Baisheuin. Sa réputation atteignit tout Rhûn et on lui confia une nouvelle guerre à mener, contre les nains des Monts du Fer. Celle ci dura quatre ans pour des gains de territoires modeste. Les talents de stratège de Rûdaz furent mis à rude épreuve, mais lui et ses hommes en sortirent victorieux. Lorsqu'il rentra à Tset-Habaor, à l'âge de trente ans, le seigneur de la cité venait de décéder sans descendant. Khûrgaz, devenue capitaine de la garde du palais, lui rappela alors qui il était, et qu'il était temps de reprendre ce qui lui était dû. Rûdaz révéla alors sa véritable identité à tout Rhûn, et devint seigneur de la cité de Tset-Habaor. Sa gloire était à son paroxysme, et nombreux en Rhûn le voit comme un messie guerrier qui rendra sa splendeur au royaume. Rûdaz quand à lui, porte désormais son attention sur l'ouest...
Equipement : Rûdaz possède :
-Draeswir, la Lame de la Vengeance, un long cimeterre ayant appartenu à son père, pouvant aussi bien être manié à une ou deux mains, dans un fourreau en cuir porter dans son dos.
-Une armure intégrale d'officier oriental en or, comprenant cuissardes, plastron et épaulière et une capes pourpre au contour d'or.
-Un heaume oriental à trois pique, recouvrant l'intégralité du visage et laissant une fente unique pour les yeux, en or. -Une dague de trente centimètre en acier qui pend à son coté droit.
Capacités :
Maitrise des lames : Rûdaz s'est entraîné au maniement du cimeterre, de la dague et de l'épée depuis ses quatre ans. Il est donc normalement devenu un expert du combat à la lame.
Esquive : Rûdaz est svelte et agile, deux atouts pour esquivé les coups qu'on ne peut parer.
Charismatique : Rûdaz dégage un aura de confiance et de bravoure. Tous sont près à le suivre sans hésiter et boivent ses paroles.
Stratège brillant : Rûdaz s'est découvert un don pour le commandement et la stratégie, ce qui lui à permis de mener à bien deux campagnes dans sa vie.
Obstiné : Lorsque Rûdaz à un objectif, il est quasi impossible de l'en détourner et il va toujours jusqu'au bout.
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