[23 Février 2009] Unifions le Harad...

Ils ont donc ossé se levé contre moi. Moi, Adrix du Harad, seigneur des tribus Haradrims. Ils ont ossé rassemblé leurs hommes. Certe, ils ne sont qu'une minorité, mais leur pouvoir va grandir. Il faut que j'étouffe cela dans l'oeuf, je n'est pas le choix... Il me fallait agir. D'une voix ferme, j'ordonnais a Kra de rassemblé mes soldats. Mes 20 haradrims, 25 archers et autant de soldats au corps a corps suffiraient. Et aussi un stratège et un porte étendart. Tandis que mon second s'occupé de rassemblé mes soldats, de leur trouvé les vivres pour le long voyage qui nous attendais et de me préparé ma monture, je m'occupais de me préparé. D'abbord, j'enfilais ma robe de combat, qui me permettrait d'avoir des mouvements amples sans pour autant me géné, par dessus laquel je placait une cotte de maille m'arrivant au genoux, recouvrant les bras et le thorax. Je prit aussi un pantalon de lin, pour protégé en partie mes jambes. J'enfillais aussi une veste maillié légère pour augmenté la protection de mon thorax, a laquel venait s'ajouté un plastron, ce dernier accompagné de jambières, de brassards et d'épaulières d'aciers. Mettant ma couronne sur ma tête, je mettais a ma ceinture mon sabre. Je me rendis ensuite dans la cour de mon palais. La, mes hommes m'attendaient.

Il s'y trouvait presque une centaine d'hommes, 78 pour ètre précis. Un porte étendart, Kra et un stratège monté tout trois sur de beau étalons haradrims, mes archers d'élites eux a pied, accompagné d'autant de guerriers et d'achers a pieds.... Voila donc les hommes qui m'accompagneraient dans mon périple. Chacun d'entre eux avait des familles, et certaines des enfants de ses familles ne veront jamais leur père ou leur mère revenir. J'ai eu un père, il y a longtemps. Je peut sans difficulté comprendre la peine que resentirons ses enfants lorsqu'ils apprendront que leur père est mort a la guerre. Tout comme je peut comprendre la fierté que ses mêmes enfants ont a la vu de leurs pères, ou de leurs mères, en armes, près au combat. Je les comprends, mais je suis roi, et je ne peut rien dire. De plus, ses hommes et femmes ont prété serment. Ils ont juré de combattre, de m'ètre loyal. Et ils le sont. Et c'est pour sa que je ne pleurais pas ce qui tomberont. Les morts ne reviennent pas, seuls les vivants comptent.

J'arrétais mes réflexions car il fallait partir. J'enfourchais d'un seul geste ma monture, et partie. Mes hommes me suivaient. Nous arrivames vers les terres de la tribu des Nargs, la tribu la moins puissante de celle qui remettait en cause mon autorité. Mes hommes sortirent leurs lames et encochèrent leurs flèches, près a en découdre.... Mais qu'allait t'il se passait ?

Arrivés à hauteur de la première maison, un petit groupe de citoyens haradrims attendait qu'ils approchent. Il spossédaient des armes mais ne semblaient pas prêts à combattre.

L'un d'eux s'approcha du groupe d'Adrix et prit la parole :

- Qui êtes-vous ? Que venez-vous faire ici ?

-Je suis Adrix, seigneur des terres du Harad réunifié. Je suis venu ici pour parlé a votre chef. Auriez vous l'obligence de me conduir a lui ?

Bien que suspicieux, l'homme hocha de la tête pour acquiecer et fit signe à Adrix de le suivre jusqu'à une grande hutte.

- Tu entres seul dans cette hutte, tes soldats devront t'attendre dehors.

Pendant ce temps, l'homme en question avait poussé un large tissu recouvrant l'entrée de l'abri. Adrix allait pouvoir rencontré l'un de ses opposants...

Adrix n'essita pas. Une série d'ordre bref plus tard, il entra, seul. L'homme étiat la, devant lui. Seul lui aussi. Il portait une lame.
Adrix lui dit :-Bonjour, seigneur. J'ai eut vent de rumeur quelque peu dérangant.... Vois tu de quoi je parle ?

[essaie de te relire pour les fautes d'orthographe Wink

]

L'homme en question était assis sur un siège de bois finement sculpté, le sol de la hutte était recouvert de fins tapis provenant sûrement de souks non loin des grandes villes du Harad. Son épée d'or et de bronze reposait à ses côtés rangée dans son fourreau. Le chef avait une barbe bien taillée grisonnante, son visage prouvait qu'il avait connu maintes batailles et connu de nombreuses victoires ainsi que des blessures.

Il se leva finalement et s'adressa à Adrix après s'être approché de lui :

- La question serait plutôt pourquoi es-tu venu ici Ô grand et humble roi du Harad et de ses tribus qui s'attaquent entre elles. Tu te dis roi mais roi de quoi ? de quel royaume ? L'on voit que tu ne connais pas la situation du pays, les tribus s'entretuent pour prendre le pouvoir et redorer le blason de notre nation qui a été souillé par le Gondor lors de la bataille cinglante qui a eu lieu il y a environ 1 an. Si tu souhaites le bien du Harad, rends toi compte de la situation, remoralise le peuple et conduis-le à la victoire !

Finalement ce chef de tribu n'était pas tant opposé à Adrix que cela, il était simplement lucide quant à la situation de leur pays...qu'allait dire le jeune roi ?

Un sourire naquit sur mes lèvres. Ce chef croyait m'apprendre quelque chose ? Je savais tout cela. Cependant, je n'avait pas assez d'hommes pour mené la reconquète et unifié les miens. Voila pourquoi je n'avait rien fait. Je prit la parole :

Crois tu vraiment que je ne sois pas au courant de la situation ? La moitié de ses guerres, j'en suis l'investigateur. Certe, cela est lache, mais m'a permis de pouvoir levé une armée, le temps de passé a l'assaut. J'ai monté l'une contre l'autre certaines tribus parmis les plus dangereuses pour les tribus que je considère comme mes alliés, et j'ai levé une armée. Celle que j'ai actuellement est puissante, plus que la tienne, mais ne me suffira pas pour unifié le royaume. Allions nous :
rassemblons nos forces, et unifions le Harad. Vous serez mon intendant, mon conseillié, et votre tribu sera la plus puissante après la mienne... Cela n'est t'il point tentant ?

Le chef resta d'abord silencieux et se frotta le menton tout en réfléchissant puis il reprit :

- Je ne recherche pas la gloire ni le pouvoir, je ne veux que la prospérité pour ma tribu, rien d'autre. Mais voir mon peuple se déchirer n'est guère plus réjouissant, le Harad se détruit à petit feu et si l'on ne fait rien, il n'existera bientôt plus.

Il s'arreta un instant puis :

- J'accepte ton offre simplement pour unifier le Harad. En contre-partie, je souhaite que ma tribu soit traitée comme une grande famille parmi les Haradrims et que nul mal ne lui soit fait, puis-je avoir ta parole ?

-Ma parole est tienne, les dieux en sois témoin. A tu une idée des tribus qui pourrais nous ètre ennemi ou allié, et des forces de ses dernières ?

L'homme réfléchit puis :

- Et bien, je crois qu'il y a trois tribus hostiles à toi. Elles sont en Extreme Harad, là où ton pouvoir est le plus difficile à atteindre. Elles possèdent des milliers d'hommes et ton armée actuelle ne pourrait pas les vaincre pour le moment, je te conseille donc d'attendre et de renforcer ton pouvoir actuel en essayant déjà de stabiliser ton régime, afin qu'il prospère sur la longévité.

-Je suivrais tes conseils. J'aimerais que tu fasse quelques choses pour moi :
rassemble tes hommes et envoient ce qui ne te sont pas util pour défendre ta tribu a Pazgar, ma capitale, de manière a ce que je possède une garnison suffisante la bas. Vient avec eux et pense a comtpé le nombres de personnes que comptent ta tribu. Je compte faire agrandir ma capitale et je prévoirais trois nouvelles casernes. L'une sera pour tes guerriers, et, dans les quartiers alentours, je veillerais a ce que de très vastes palais soit réservé pour les plus méritant de tes guerriers ou les menbres de ta tribu que tu vera bon d'envoyé logé la bas. Je ferais aussi en sorte que sa soit suffisament grand pour que tout ton peuple puisse y logé si besoin....

Sans plus attendre, je partie, lui donnant rendez vous dans trois jours a Pazgar....

**********************¨Pazgar, trois jours plus tard *****************

Je sortais au galop vers l'armée en marche....

Près de 500 haradrims étaient venus en renfort pour aider Adrix. Leur chef était à leur tête et il chevauchait un étalon noir d'une grande beauté, il s'avança vers le jeune roi et inclina légèrement la tête tout en s'adressant à lui :

- Nous sommes ici pour vous aider majesté, mes hommes ne sont guère les plus nombreux mais leur vaillance n'a aucun égal en Harad.

-Comme si vos hommes n'étaient pas assez nombreux ! De quoi se compose exactement vos troupes ? Et, mon ami, que pensé vous que nous devrions faire a présent ?

Sans que nul ne s'en rende compte, un discret cavalier s'approchait de la troupe. Il chevauchait une bete mule, et avait une apparence innoffensive. Le voyageur était recouvert pas une cape bleue qui le protégeait de l'éprouvant soleil de Harad, et son large chapeau de couleur bleue cachait son visage.
Le cavalier parvint au-devant des haradrims. deux d'entre eux, d'un air hostile, l'interpelèrent.

-Que veux-tu, étranger ? Parle vite !

Agacé par cette remarque, Pallando tira de sa poche l'amulette de Conseiller que lui avait donné le sultan.

-Reconnais-tu ce sceau, triple buse ! Laisse-moi passer, je suis pressé !

-Heu... Bien, monseigneur!

Le haradrim s'écarta peureusement du magicien bleu, dont on craignait en Harad les pouvoirs magiques. ce dernier se fraya un chemin parmi les guerriers et parvint devant le roi Adrix, en conversation avec un officier haradrim. Il descendit de sa mule et s'inclina devant le sultan.

-Sire, je suis venu aussi vite que possible en apprenant votre glorieuse entreprise. Mes pouvoirs sont à votre disposition...

-Bienvenu Pallando, mon fidèle conseillié. Je te présent le chef de la tribu des Nadirs, Gar Kand. Lui et ses hommes sont ici pour nous soutenir dans nos futurs actions militaires. J'ai d'ailleurs besoin de tes lumières, voila la situation. Je possède 1 000 hommes, plus, si tu en recrute, tes hommes, et les 500 soldats que voici. Trois tribus en Extrème Harad me sont hostil, et Umbar me l'est aussi. J'aimerais en fait vaincre ses trois tribus et prendre Umbar. Est t'il sage d'attaqué dès maintenant ou est t'il mieux d'attendre ? Et, si nous frappons, qui frappé ?

Pallando écouta consciencieusement les paroles du jeune roi. Ce dernier lui présentait un chef de tribu allié, Gar Kand, et lui demanda ensuite son avis sur la prochaine campagne. Le Mage Bleu présenta ses respects au chef des Nadirsréfléchi quelques instands, puis répondit à Adrix:

-Umbar est le plus Grand Port des teerres du Milieu. Sa chute démoraliserait vos ennemis en Extreme-Harad, qui pensaient y trouver un allié. C'est de ce coté qu'il faudra se concentrer.

Pallando marqua un silence, attentif aux réactions de ceux qui l'entouraient. Puis il poursuivit.

-Le port d'Umbar ne tombera pas tant que la flotte des corsaires sera opérationelle. Il vous faudra, Sire, s'emparer des navires du port à la faveur de la nuit. Je pourrai provoquer un incendie de grande envergure et l'étaler à travers la cité corsaire par le vent tandis que vos hommes se glisseraient sur les navires, en abattraient les derniers gardiens et mettraient le cap au large. Les navires que vous ne pouvez pas prendre devront etre incendiés. Avec la flotte corsaire, vous pourriez encercler le port d'Umbar, le priver de ressources. En parallèle, il faudra établir un blocus autour de la ville et l'acculer à la rédition.
Pour distraire vos ennemis en Extreme-Harad et les empecher de porter secour aux corsaires, envoyez vos meilleurs hashari empoisonner par de subtils artifices leurs principales oasis. La catastrophe devrait les distraire pendant un large moment.

-Je vais envoyé cherché Kra, mon hasarim personelle pour cette mision. Et envoyé cherché aussi Rin....Je me tournais et donné une série de bref ordre au soldats m'accompagnant. Il alla cherché les deux hasarims qu'il me fallais.
-Umbar sera donc notre cible. Seigneur Gar Kand, préparé des a présents vos armées. Je laisserais 500 de mes hommes dans ma capitale en réserve : 100 lanciers, 100 guerriers, 300 archers et mes 10 mumaks. Nous suivrons sinon le plan du seigneur Pallando, qui m'a l'air excellent, a quelques nuances près bien sur. Pour commencé, j'enverais le meilleur des Hasarims du pays supprimé le conseil d'Umbar et me rapporté le plus d'information sur sa. Ensuite, nous mettrons le plan de Pallando en action et nous prendrons la ville.... Il faut cependant prévoir des "groupes" d'assaut. Pour ma part, je peut envoyé 400 lanciers, 400 archers et 400 guerriers du Harad, 5 catapultes, 10 portes étendarts, 10 stratèges, 10 états majors et ma garde rapproché. Je pense qu'une telle force, augmenté des troupes de Gar Kand, nous suffira pour faire blocus sur la ville. Pour neutralisé la flotte, je prendrais la tête d'une centaine d'Haradrims, et, si vous ètre d'accord, les votres seigneurs Pallando. Je vous conseil d'ailleurs d'étoffé vos armées, cela pourrait nous servir dans un futur proche...

L'orgueil de Pallando fut flatté que le roi approuve encore une fois son idée. Mais le roi lui demanda d'étoffer ses armées, en prévision de la prochaine campagne.

-Ce sera fait, mon roi. Je vous rejoindrait aux alentours d'Umbar, quand l'heure de la bataille viendra.

Sur ce, le Vieux Mage s'inclina devant le seigneur Adrix, puis remonta sur sa mule. Sous les regards ébahis des soldats et le soleil étouffant de harad, la silhouette de Pallando disparut vers le Nord. Toutefois, on ne tarderai pas à le retrouver...

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