[3 juin 2009] La cité blanche

Lillanara était ravie de son coup. Elle s'était débarrassée de ses soldats sans problèmes et leur avait faussé compagnie dans la nuit en leur laissant juste un message. On ne retenait pas quelqu'un sous orétexte que la cité en face était remplie d'ennemis quand en y allant on rendait cette personne une cible encore plus grande.
Elle regarda autour d'elle. Elle n'était que rarement venue dans une grande ville, et jamais dans des cités ennemies. Il y a un début à tout. Cette fois-ci, c'était sa partie elfe qui était ravie, et sa partie orientale furieuse. Elles n'étaient vraiment jamais contente, ces deux-là, mais on ne peut pas se refaire. Même si Minas Tirith pouvait se révelait aussi dangereuse qu'un royaume elfe si un de ces derniers étaient dedans. Elle était recherchée pour l'assassinats de son père. Si elle avait su qui il était, elle ne l'aurait pas bléssé, et puis c'était un accident. Elle n'aurait pas le temps d'expliquer à tout le monde que c'était un accident, et encore moins que c'était son père.
Chassant ces sombres pensées de son esprit, Lillanara déambula partout, sans destination. Elle fut très vite repérée comme une étrangère, et la désagréable impression d'être suivie lui arriva. Elle était suivie par quelqu'un qui ne lui voulait pas de bien, elle en état sûre. La chose positive était que personne ne l'avait identifier comme orientale, plutôt comme une elfe, ce qui était ce qu'elle avait désiré. Les ruelles devinrent oppressante brusquement ; quel homme s'attaquerait à une elfe ? Toutefois une idée lui vint ; il avait sans doute des complices qui attendait dans la foule ou toute personne normale irait se réfugier. Lillanara courut donc vers les coins sombres de la cité. Elle allait beaucoup plus vite, et put se retourner pour voir qui la pousuivait ; un grand homme brun musclé armé jusqu'au dans mais sans armure. Le combat en serait plus facile.
Lillanara s'arrêta au cul-de-sac, et l'attendit. il avait voulut lui faire du mal, et il allait le payer très cher. Pas plus bas que sa vie.

Il s'apprcha d'elle, surpris par le fait qu'elle semblait l'attendre. Un petit sourire supérieur apparut sur ses lèvres, agaçant au plus au point Lillanara. Il lui parla d'une voix gentille mais où l'autorité perçait :

-Ne te mets pas dans tout ces états... Si tu m'accompagnais ? Je serais ravi de te faire visiter cette belle cité qu'est Minas Tirith. Nous pourrions ensuite passez chez moi prendre un peu de rafraîchissement et de nourriture.

Il ponctua ses paroles d'un grand sourire. La haine à l'état pure envahie Lillanara. Elle haïssait ce genre d'hommes, les vouait tous au néant, à la mort et à la douleur. Elle se retint de frapper tout de suite et répondit d'une voix venimeuse :

-Non merci. Faire un tour avec un homme comme vous ne m'intéresse pas. Je ne suis pas de ce genre-là, moi, et je peux vous assurez que vous me répugnez au plus au point. D'une manière que je ne peux expliquer.
Maintenant, vous avez le choix. Soit vous me laisser partir, et je ne vous ferait rien, soit vous tentez de m'en empêcher et vous vous exposer à beaucoup de mal. Je n'hésiterais pas à être cruelle un seul instant, eet je ne crois pas que vous faites le poids.

Elle attendit sa réponse et se prépara à sortir son épée, soigneusement dissimulée dans l'ombre. Elle n'aurait pas le temps d'utiliser son arc, et avec les dagues elle s'exposait à des blessures qu'elle désirait éviter.