[4 Juillet 2008] Arrivée à la frontière

Après une longue journée de marche, nous avions passé les Terres Sauvages et nous étions à présent à l'extrémité ouest du Rhûn...
- Nous y voilà, me dis Ecalion mon bras droit et l'un de mes meilleurs guerriers.
- En effet, il nous faut trouver au plus vite un village pour parlementer..
- Mon seigneur ! Des cavaliers !....des orientaux !!

L'escouade orientale s'approcha de nous et nous salua très, très furtivement.

- Je veux parler à votre Roi, oriental, dis-je au "chef"
- Il est dans son bastion à l'heure qu'il est, il se prépare à une lutte contre le Gondor.
- Et bien j'aimerais lui parler quand même, vous ne sauriez refuser l'hospitalité à un Roi, soldat.

L'Oriental hésita puis ..... (Rhamul je te laisse répondre)

Le soldat répondit:

Soldat: _ " Si vous le désirez mais je vous conseille de ne pas croiser le regard de Rhamul car il désire au plus profond de lui vous tuer.
Valarion: _ Je prend le risque! "

Le soldat conduisit Valarion au camp, mais malheureusement croisa Rhamul en plein entrainement...

Valarion du haut de son cheval regarda le seigneur oriental s'entrainer jusqu'à ce que celui-ci remarque son arrivée :

- je suis ici pour parlementer, Oriental, pourrais-je voir ton Roi ?

Rhamul l'amena au roi pour parlementer.

Je me baissa afin de saluer le Roi puis je lui adressa la parole :

- Roi oriental je vien sà votre rencontre pour traiter de sujets vous impliquant : plusieurs de vos hommes ont lâchement tué des soldats gondoriens sur le territoire de mon peuple. Vous comprendrez surement que je ne peux y rester insensible, de plus certains de mes hommes ont reconnu cet homme parmi les tueurs (je tendis la main vers Rhamul). Qu'avez-vous à me répondre à cela??

Le Roi fit un signe a Rhamul. Il s'avança et parla:

Rhamul: _ " Cher roi, déjà je vous rapelle que nous haissons les hommes du bien, ensuite vos hommes ont ouvert le combat.
Valarion: _ Que fesiez vous sur nos terres ?
Rhamul: _ Je m dirigeais au Harad, d'ailleurs vous l'avez ravagé, reson de plus de nous venger. "

Rhamul lui donna l'écriteau qu'il avait trouvé au Harad.

Rhamul: _ " Qu' avez vous a répondre à cela? "

- Et bien je dis que nous avons combattu les haradrims car ces derniers nous avaient attaqué et avaient assiégé la cité de Dol Amroth nos alliés et frères. Mais ce n'est pas à toi, oriental, à qui je m'adressais , j'ai adressé la parole à ton Roi...

Je me tournais vers le Roi.....je sentais qu'il n'en fallait plus beaucoup pour que ces orientaux nous sautent dessus, aussi je me tenais prêt...mais infiniment discret.

Rhamul: _ " Atention a tes paroles petit roi, je devine trè bien que tu compte te mettre en garde. Sache que la carrure ne fait pas l'àge."

Après ceci Rhamul empoigna ses dagues et menaça le roi Valarion.

Instantanément je dégaina ma lame elfique à moitié, et les soldats m'ayant suivi dans la tente (une vingtaine) étaient déjà prêt à se combattre et m'entouraient.

- Ce n'est pas la guerre que je veux, Oriental, seulement des explications et de la part de ton Roi , vais-je enfin réussir à lui parler ?!

Rhamul rengaina sa lame malgré sa haine envers nous et s'carta pour laisser la parole à son Roi....

Le Roi parla:

Roi: _ "Je me contrefiches des Gondoriens et sachez que j'aprouve l'acte de Rhamul. De plu je ne vous conseille pas de nous menacer car notre fort n'a jamais tomber!
Rhamul: _ Ahahahahah! "

Voyant l'obstination du Roi je répondis :

- Combien de fois devrais-je vous dire que je ne veux pas d'une guerre !!Je suis venu pour vous mettre en garde et pour vous prévenir de ne plus toucher à nos soldats lorsque vous êtes sur notre territoire. Apprecieriez-vous si en passant pour allant dans le désert du Khand, je m'attaquai à vos soldats ?De plus, il parait que vous avez attaqué des elfes.
Je pensais que depuis la chute de Sauron, votre peuple était redevenu amical mais je vois que vous n'avez toujours rien appris du passé...

Ils avaient réussi à m'énerver, je me retourna et fis signe à mes soldats de me suivre afin de repartir dehors...

Rhamul obstiné, le suivit.

Rhamul: _ " Vous ne connaissez rien de l'Ancien Temps! Les Orientaux vous haissent, nous sommes fidèles au Mordor!

Je l'écoutais tout en poursuivant ma route, je remontais sur mon cheval :

- Si vous êtes toujours allié au Mordor, alors vous êtes pire que je ne pensais...vous alliez aux orcs est la pire chose que vous puissiez faire.

Moi et mes cavaliers repartirent et sortirent du camp vers l'Ouest...

Après une courte réfléxions Rhamul décide des les poursuivre. Theram, résté dans la tente sans rien dire jusque là le suivis, ainsi que dix garde de Rhamul. Etant sur leurs terres ils les ratraperont rapidement...

Après quelques milles de parcouru, l'un des soldats vétérans m'interpella :
- Mon seigneur, nous sommes suivi par des orientaux !
- HAAALLTEEE !criai-je à mes hommes, attendons-les... prudemment.

"Je me demande ce qu'ils me veulent encore..."

Rhamul l'interpela.

Rhamul: _ " Nos coutumes n'ont pas changées depuis 200ans. Nous voulons voud tuer!"

J'ordonna immédiatement à mes hommes de se mettre en garde.
À 500 contre une dizaine, nous avions l'avantage mais je restais sur mes gardes :

- Ne souhaiteriez-vous pas nous tuer sur un vrai champ de bataille ?Vous voulez la guerre et bien soit mais dans les règles de l'art.

J'attendais sa réponse avec impatience...

Rhamul avait aperçu le doute du jeune roi.

Rhamul: _ " Et où voulez-vous combattre?"

Rhamul riait et semblai très confiant.

Theram chuchotais à l'oreille de Rhamul.

Voyant la volonté de Rhamul à faire la guerre :

- Ecoutez je ne veux pas d'une guerre qui nous fatiguerait tous, de plus une armée orc est, d'apres les dires, au Mordor. Ils en profiteraient pour nous attaquer, de plus je suis las de ces guerres...restons en là je vous en prie.

Rhamul: _ " Heureusement que ma pitié est grande, mon maître t'orais massacré il y a bien longtemps! Pars et ne revient pas si tu iens à ta isérable vie! "

Nous nous en retournâmes donc vers l'Ouest vers Minas Tirith. De temps à autre je me retournais pour voir si nous étions suivi mais il n'y avait personne.
"Ils ont encore un peu de sagesse"

J'allais enfin pouvoir préparer ce que j'avais prévu depuis des jours...