[2 août 2008]Dans la maison de Thor

"Enfin de rretour chez moi !!! quel voyage fatiguant. Bonjour Añel mon jeune palfrenier j'imagine que j'ai du pain sur la planche, après la bataille que le gondor à livrée la bas dans le sud et celle qui à eu lieu ici, et du fait de mon abscence."
"Bonjour maître, oui en effet vous avez du travail et une demande particulière du roi, un bouclier du gondor, rond, avec une poignée renforcée et confortable. Je retourne au comptoir reposé vous je m'occupe de tous pour le moment."
N'étant pas du tout disposé à me reposer, je m'occupa de faire le bouclier pour le roi, et rattraper ainsi le retard pris pendant mon absence.

Rentré du marché et délivré de ces brigands, je fus donc de retour chez Thor.

Je vis le maitre forgeron dans son atelier, je m'y rendis donc pour lui raconter mes péripéties.
En y allant je sortis ma hache de mon dos et la tenit à la main pour demnader à Thor de me l'arranger...

Je sorti de mon atelier pour aller boire un coup à la Taverne, lorsque je vis Thungdil arriver avec ce qui semblait être un rôdeur.
Je m'écria: "Alorrs mon jeune ami vous m' rramener un client ??? Ou il y a un prroblème peut êtrre ?"

J'accompagnais Agnir chez Thor lorsque je le vis sortir de sa boutique et me criant :

- Alorrs mon jeune ami vous m' rramener un client ??? Ou il y a un prroblème peut êtrre ?
- Non pas exactement, je reviens d'une taverne où Berillac et moi avions commencé des recherches sur les malfrats qui m'avaient capturé. J'ai retrouvé mon kidnappeur avec l'aide de cet homme et nous l'avons fait parlé. Il nous a dit que la race des nains allait disparaitre et que Khazad-Dûm allait etre détruite. Nous avons décidé Agnir et moi d'aller à la Moria pour élucider ce mystère, maître Thor. Voudriez-vous nous accompagner dans ce voyage ?

J'attendis la réponse de Thor avec impatience...

Agnir prit alors la parole alors que Thungdil s'appretait à lui répondre :

- Je ne sais pas si vous saisissez l'ampleur de la menace : le peuple de Durin, votre peuple va etre attaqué et risque de disparaitre.
- Mais par qui ?demanda Thor.
- Ca... nul ne le sait mais je suis sûr qu'un guerrier tel que vous, serait d'une aide précieuse dans ces mines. Tout le monde connait votre réputation de combattant et de maitre forgeron. Thungdil, à présent je suis sûr de vous accompagner, je veux aider votre peuple et par la même occasion me battre, alors qu'en dites-vous Maitres Nains ?

"Bien je vous accompagne, partons demain après le repas de midi car un ouvrage très important m'attend à la forge, je dois absolument l'achever, d'ailleurs je vais y aller dès à présent, a plus tard mes amis."
Je reparti dans la forge.

Après avoir écouté Thor me disant d'aller me coucher, je m'éxécutais donc et repartis dans ma chambre, j'enjamba mon nouvel ami long-sur-pattes et me coucha dans mon lit espérant récupérer les quelques forces que j'avais perdu.
Le lendemain donc je me levais, Agnir dormait encore et je ne le réveilla point. Je sortis après m'être habillé et alla immédiatement à la cuisine pour voir si il ne restait du porc salé dans les placards. En y arrivant je vis le jeune garçon aidant Thor qui prenait son petit déjeuner, il me salua et je lui retourna son salut.

- Puis-je me servir en nourriture ?lui dis-je

Il acquiça et je sauta sur le porc salé qui était caché dans un torchon sale.
Je pris également une bonne bière, celle que l'on trouvait chez Thor était bien meilleur que dans les tavernes de Minas Tirith et elle était presque aussi bonne que celles des cuves de feu-mon père.
Durant mon repas j'attendais impatiemment l'arrivée de Thor, voulant absolument savoir quel était son ouvrage nocturne...

Le palfrenier toujours tenant la main d'Anazul pénétra en trombe dans la maison de son maître où il logeait lui aussi. Il enmena Anazul dans le sous sol où été entreposé toute la matière première.
"Vous serez en sécurité ici et si vous voulez me faire plaisir, me rendre un service, restez ici jusqu'à l'arrivée du roi, j'ai entendu dire qu'il n'allait pas tarder. Je sais sa fait long mais j'ai justement besoin d'aide à la forge et si sa ne vous dérange pas sa sera encore un service pour moi et la compagnie d'une jeune femme me sera fort agréable. En attendant restez vous reposer je vais vous installer un lit et vous apporter a manger.
Si jamais vous désirez quelque chose ma chambre et juste au dessus."
Sur ce il partis chercher un matelas et a manger.

Anazûl se sentait maintenant en sécurité. Le réflexe qu'à eu le palfrenier lui avait peut-être encore sauvé la vie. Elle fut très touchée de cet acte.
Elle attendait le retour du nain avec impatience, sa compagnie lui faisait beaucoup de bien, depuis tous ces jours passés seul. Quand il revint lui apporter un matelas et à manger, Anazûl le regarda avec insistance.

Anazûl:- Je resterais ici autant de temps que vous le voudrez. Je me sens en sécurité ici! J'espère que ma présence ne vous attireras pas trop d'ennuis et que ces gens qui m'en veulent ne vous causerons aucun mal. Au faite, ... je ne connais pas encore votre nom ?

"Je me nomme Erion et vous ?" (je suis pas censé savoir ton prénom )

Anazûl:- Je suis Anazûl, mais vous pouvez m'appeler Ana. Ce surnom est réservé à mon mari, à ma famille et à mes amis proches, mais je tiens à ce que vous m'appeliez par ce surnom. Et puis, je pense que nous deviendrons de bons amis à force de se cottoyer! En tous les cas, je l'espère!
Je voulais vous poser une petite question Erion, puis-je vous aidez à la forge? J'aimerais respirer de l'air frais juste pour cette fois, le temps de m'habituer à rester enfermer ici.

Deux gardes Gondoriens frappèrent à la porte...

Garde: " Ouvrez ! Nous venons de la part de l'intendant, ouvrez c'est un ordre! "

Le palfrenier entendant les soldats à la porte laissa Anazûl ferma la trappe replaça le tapis dessus et alla ouvrir.
"Qu'est ce qu'il y a ???"

Anazûl était très inquiète. Elle s'était caché le plus possible de la trappe, et ne se déplaçait plus afin de ne pas faire de bruit attirant les gardes. Sa respiration se faisait de plus en plus lente et son coeur battait rapidemment. Elle entendait les pas des gondoriens. Ils étaient entrés dans la maison et discutaient avec Erion. Anazûl se faisait beaucoup de soucis pour celui-ci.
* Faites qu'il ne lui arrive pas d'ennuis par ma faute ! *

Les Gondoriens firent le tour de la maison en fouillant chaque recoin, ils arrivèrent devant la trappe, ils allaient l'ouvrir mais cepandant on entendit uncri de dehors, une maison brulait, les gardes accourèrent vers l'exterieur.

Garde: " Aurevoir, sachez que si vous la voyez emmenez la a nous, nous l'emprisonerons. "

[ Dernier avertissement : ne reste pas a Minas Tirith c'est trop dangereux pour y rester aussi longtemps et connu comme tu es ! ]

Une fois les gardes partient le palfrenier ferma la porte a clé et retourna dans la cave où il trouva Anazûl caché.
"Ne t'inquiette pas Ana les garde sont partis. Tu pourra venir avec moi à la forge et tu pourra t'occuper des cheveaux, mais il faudra que tu ne te montre pas aux clients. Je te conseille aussi de changer de tenue. Si tu veux je peu aller t'en acheter une. Là je vais envoyer un message au roi, je reviens. D'ici là reste ici, je vais cadenacer la trappe. Mais tu peux sortir par le conduit d'évacuation de cendre derrière ce bac. Il mène dans le four qui est actuellement éteint."
Sur ce il sorti ferma la trappe et la porte a clé et il se diriga vers la fauconnerie du palais.

Anazûl:- Merci beaucoup pour ton aide. Je t'attends ici, je ne bouge pas! ( Ps: c'est gentil de préciser que le conduit d'évacuation se termine dans le four qui est éteint! )

Anazûl était très contente de sortir de cette cave, mais ne se sentait guère en sécurité à la vue de tous. Elle aimait l'idée de s'occuper des chevaux à la forge, d'apprendre un nouveau métier. Bien sur, elle pensait à son mari qui lui manquait, mais elle savait que son absence ne l'inquièterait pas. Ils se connaissaient trop bien pour paniquer pour quelques jours sans se voir.

Le roi du Gondor arriva devant la porte en bois de chez Thor et saisit la poignée. Tiens, la forge est fermée..bizarre.

- Il y a quelqu'un ?dit il d'une voix forte en frappant à la porte.

Anazûl était tout juste en train de découvrir les outils qu'utilise Thor et son Palefrenier, quand elle entendit une personne frappé à la porte. Elle était seule, pas très rassurée. Elle n'ouvrit donc pas la porte immédiatement. Elle attendait de voir si l'homme qui frappait allé renouveller ce geste et se faire sentir pressant.

Valarion, après plusieurs frappes, décida d'écouter à la porte même si son rang lui disait que ce n'était pas très politiquement correct.
Il n'entendit rien de spécial à part le bois grincer, il décida de renouveler ses frappes car il n'avait jamais vu la boutique de Thor fermée en pleine journée.

- Thor, Erion ?? Il y a quelqu'un ??C'est Valarion.

Voyant que l'homme derrière la porte insisté, Anazûl s'approcha "à pas de loups" de l'entrée. Elle fut très étonnée quand elle entendit le nom de Thor et d'Erion. A ce moment-là, Anazûl se dit qu'elle n'avait rien à craindre, si c'est un de leurs amis il doit être aussi sympathique qu'eux. Elle entrouvrit la porte, et l'air froid pénétra dans la forge où la température explosée. Elle fut parcouru d'un frisson, puis regarda fixement l'homme.

Valarion vit alors que la porte s'ouvrait dans un bruit de bois et de fer, il vit ensuite un petit visage l'observer par l'entrebouchure de la porte. Il fut étonné de voir une femme ici. Il prit donc la parole :

- Bonjour, je suis Valarion. Je souhaiterais parler à Erion, il est ici ?On ne m'avait pas parler d'une femme dans cette maison seriez-vous la femme d'Erion ? puis il dit tout bas avec un petit sourire si vous êtes sa maitresse n'ayez crainte je ne le dirais pas.



[je ne fais pas mention de mon rang de roi]

A ce moment là Erion arrivait du marché avec les bras chargés de provisions et avec une tunique de femme aisée du gondor.
Il fut surpris de voir le roi face Anazûl.
"Mon roi vous êtes déjà de retour ! Voici Anazûl la reine du Rhin et je la protège chez moi de vos hommes et du régent qui s'occupait de votre cité pendant votre absence. Pourriez vous régler ce problème pour qu'elle puisse vaquer a ces occupation sans se sentir menacée ?"

Anazûl rougissa fortement quand le dénommé Valarion lui demanda si elle était la femme d'Erion ou encore sa maitresse. Elle cherchait un réponse, quand Erion fit son apparition. Anazûl s'étonna de se voir afficher un sourire résplendissant à la vue du palefrenier.
Quand Erion appella l'homme face à elle "mon roi", Anazûl eut un mouvement de recule puis resta figer, à écouter la conversation des deux hommes.