[2 août 2008]Dans la maison de Thor

- A ce que je vois, mes hommes font du zèle. Cependant elle est l'épouse du fameux Rhamul, et lui par contre n'est pas apprécié par ici...

se tournant vers elle...

- Ne vous inquiétez plus cette cité ne vous causera plus de désagréments, mademoiselle (petit signe de tête en gage de respect). Je vais aller au palais pour régler ça. En attendant reposez-vous bien tous les deux .

Le roi leur dit aurevoir puis s'en retourna vers le palais...

Anazûl était soulagée d'entendre que le Roi en personne acceptait qu'elle reste ici pour l'instant. Elle était aussi agréblement surprise de voir que les hommes ici, était toujours respectueux et, d'après Anazûl très charmeur.... ! Ca ne la gène pas, au contraire c'est toujours agréable d'être appréciée. (^^) Elle regarda partir Valarion, puis se tourna vers Erion pour lui demander ce qu'il portait dans les bras.

Anazûl:- Merci beaucoup Erion! Ne dites pas que la robe est inutile voyons! Je m'en vais immédiatement l'enfiler! Par contre, je veux participer aux achats, je veux vous payer ma part. Ne me dites pas que ce n'est pas nécessaire j'insiste! Vous savez, vous êtes très gentil avec moi, je vous dois beaucoup! C'est en quelques sortes à mon tour de vous rendre joyeux !!

(Désolé pour le double-post.)

Les journées d'Anazûl se suivaient et à vrai dire, se ressemblaient inlassablement. Elle se levait tôt le matin dans la petite pièce cachée où Erion lui avait aménagé un endroit tranquille et confortable. Elle déjeunait rarement, puis elle tendait l'oreille afin de percevoir le moindre petit bruit qui l'informerait que ce n'est pas le moment de sortir. Après ces précautions prises, elle ouvrait la trappe rapidemment et la refermait immédiatement. Elle s'occupait soit des chevaux soit elle passait sa journée dans la forge à regarder travailler Erion.
Cela faisait plusieurs jours qu'Anazûl avait de plus en plus de mal à se lever et à partir travailler à la forge. Elle décida qu'il lui fallait partir bientôt.
C'est ce matin, qu'elle prit son courage à deux mains et, pendant que la porte ne s'ouvrait pas et que la forge était plus calme, elle s'adressa à Erion.

Anazûl:- Erion, je voulais te parler. J'ai décidé d'aller retrouvé mon mari dans mon royaume. Je ne sais pas encore quand, mais je sais que je ne vais pas rester ici indéfinement. Je suis désolé, mais j'espère que tu ne prendras pas ma décision mal. Ce n'est surtout pas à cause de toi que je pars! Merci de tout ce que tu as fait pour moi, et tu peux être sur que je reviendrais te dire bonjour chaque fois que l'occasion se présentera. Maintenant, je voulais savoir si je pouvais partir comme ça ou si je devais allé voir le roi et le mettre au courant?

Erion ne répondait pas et Anazûl hésitait à lui reposer la question afin de ne pas le vexer. Alors, elle partit en lui disant juste un au revoir triste. C'était la solution de facilité mais elle ne savait pas comment réagir. Elle sortit et se demanda ce qu'elle pouvait bien faire de ces journées. Elle se dit qu'elle avait besoin d'aventures, mais aussi qu'elle n'avait pas revu son mari depuis très longtemps. La nuit tombait, elle s'allongea totu simplement à même le sol et s'endormit paisiblement.

*On dit que la nuit porte conseil!*

Enfin j'arrivais chez, en me voyant mon palfrenier couru vers moi et me serra contre lui.

"Eh doucement Erion, gamin tu m'a manqué, aller viens on va boire un coup à la taverne, je vais te raconter ce que j'ai fais en Moria."

Erion me dit:

"Maître vous m'avez manqué, et j'ai aussi des chose à vous raconter, et il y a surtout du travail même s'il y en a moin que la dernière fois que vous êtes revenu de voyage"

"C'est bien, allons boire à mon retour, après nous irons travailler."

Elemna avait aussitôt accepté la proposition de Valarion. Enjouée par l'envie de connaître "un vieil ami" du roi et de découvrir un peu plus le Gondor, elle le suivit sans hésitation.
Ils arrivèrent promptement chez le nain. La jeune femme avait beaucoup entendu parler sur ces petits êtres. Elle voulait maintenant ce faire une opinion seule, souhaitant du plus profond de son coeur qu'elle sera bien accueillie. L'idée que l'ami de Valarion, qui lui semblait très cher, ne l'accpete pas fut vite effacée de l'esprit de la princesse. Elle voulait à tout prix faire bonne impression.
Pendant le trajet, le couple échangea quelques mots, mais Valarion semblait tracassé. Elle se rappella qu'il était aussi venu ici pour avoir des renseignements à propos de la Moria. Voyant qu'il ralentissait le pas, elle en conclua qu'ils étaient arrivés. Elemna se tourna vers le roi du Gondor et prit une grande aspiration:

- Je souhaite que tu trouves ici les réponses à tes questions. Je me ferais petite pour ne pas gacher tes "retrouvailles" avec ton ami.

Puis, elle lui souria tendrement, serrant sa main dans la sienne.

Valarion resta cependant sans mot dire mais renvoya tout de même à Elemna un sourire tendre. Il se tourna ensuite vers la porte de bois et saisit la poignée, les deux invités entrèrent et le roi du Gondor haussa la voix pour se faire entendre alors que les fourneaux marchaient à plein régime :

- Oyez forgeron ! Cesse de marteler les métaux et viens donc me serrer la main avec la tienne pleine de poussière ! dit-il avec un grand sourire aux lèvres.

Entre temps, Erion était arrivé et un sourire avait également envahit son visage de jeune garçon.

En voyant Erion s'élancer vers la porte un sourire au visage, je fini le tranchant de la lame que je forgeais, m'essuya les mains sur un vieux morceau d'étoffe crasseux, et me dirigea vers la porte.
Quand j'arriva devant celle-ci je plisa les yeux pour m'habituer à la luminosité.
Lorsque je pû enfin distinguer quelque chose je laissa échapper un juron nain: "Oé !! "

Le roi accompagné d'une charmante jeune femme se tenaient dans l'embrasure.

"Je vous salut sir Valarion. Par ma barbe vous êtes là bien accompagné si je puis me le permettre. Je vous salut ma dame ! Eh bien entrez, ma demeure est acceuillante si simobre soit elle, nous les nains sommes habituer a vivre dans l'obscurité. Bon bon, je parle mais je m'inquiète de savoir le motif de votre visite mon jeune ami et seigneur. Surtout or de ma boutique ! Quel bon ou mauvais vent vous apporte jusqu'a moi ?"

Le sourire de Valarion s'estompa alors et son visage s'assombrit, Thor comprit vite que la visite du roi n'était pas une simple visite entre amis.

- J'ai appris que la Moria avait subi une attaque il y a quelques mois mais par les temps qui courent, je n'ai guère pu avoir d'autres renseignements. Peux-tu m'en dire plus, toi qui était présent à ce moment-là ?

Toute l'inquiètude d'Elemna s'évapora quand elle vit l'accueil chaleureux que leur faisait le forgeron et son compagnon. Elemna observa ce dernier et en conclua qu'il devait être "l'assistant" du dénommé Thor.
La jeune femme apprécia la remarque que le nain avait fait à son égard et lui répondit par un sourire timide. Il régnait dans la pièce une atmosphère agréable qui avait l'effet de décontracter la princesse. Elle se sentait certes plus à l'aise maintenant qu'il y a quelques minutes mais toutefois, elle décida de rester réservée, en retrait.
Très vite, le nain comprit que le roi n'était pas venu ici par hasard. Valarion engagea la discussion sur les problèmes qu'avait rencontré la Moria il y a de ça quelques mois. L'humeur joyeuse de tous se calma peu à peu pour faire place à l'inquiètude et la préoccupation.

C'est alors qu'un soldat arriva sur le pas de la porte, il semblait en sueur et avait dû courir un bon moment :

- Mon roi, je vous cherchais. Osgiliath est attaqué ! Des orques plusieurs centaines d'orques et des trolls et même des wargs. Quels sont les ordres ?

Le roi du Gondor ne s'attendait pas à une offensive de sitôt, pendant un instant, il pensa à Delekhan et une possible rupture de leur "pacte" de vive voix. Puis Valarion donna ses ordres à celui qui était en fait un capitaine :

- Préviens mon stratège et dis-lui de réunir cinq cents soldats et autant d'archers, ainsi que 200 cavaliers. Fais vite !

L'homme acquieça et repartit aussitôt pour prévenir les supérieurs. Valarion se retourna alors vers Thor, Erion et Elemna :

- Cela va plus mal que prévu. Une fois notre discussion achevée, il va falloir s'organiser sérieusement.

Surpris par l'irruption soudaine du soldat, je ne fis qu'un bond, couru dans la forge enfila mon armure, pris mes armes, quand le roi ce retourna pour me parler, il trésailli me voyant en armure, bouclant mon ceinturon et passant mes protections d'avant bras.

"Tu connais déjà la réponse, ce n'est pas le moment de parler de cela c'est réglé, on aura tout notre temps après cette bataille, même si je viens d'en mener une rude, j'ai besoin de me dégourdir, allons va enfiler ton armure, je t'attend devant la porte !"

Sur ces bonne parole je m'adressa à Erion:

"Toi aussi va enfiler la tienne, sa te servira d'entraînement, et je veux te voir arriver au pas de course, sa te fera les molet, freluquet ! Et arriver en bas tu répètera les mouvement de base que je t'ai appris."

Elemna fut tout aussi surprise que le fut Thor quand elle vit entrer une soldat dans la maison. Après qu'il est fait par de ses informations, Elemna resta muette. Valarion pris "les choses en main", puis Thor se prépara de sorte d'être prêt pour le combat. Erion fit de même, et Elemna en profita pour prendre la parole:

- Moi aussi, je suis prête au combat! Je vous accompagnes !

Elle suivit Thor qui sortait de la pièce.

Esquissant un sourire envers son ami forgeron Valarion siffla tout en s'approchant de la porte à la suite de ses compagnons. Son cheval blanc s'approcha alors et le roi y prit place tel un acrobate. Habillé de pied en cape, le monarque était déjà prêt et dit à Thor :

- Monte derrière moi forgeron, tu iras plus vite qu'à dos de poney.

Nous partions ensuite pour Osgiliath.




[suite à Osgiliath, mais en créant un nouveau sujet]

"Attendez, je vais monter avec Erion, prenez la Damoiselle avec vous. On se retrouve à l'entrée d'Osgiliath."

Erion prit un de nos cheveaux dans l'écurie, on monta en selle et on parti au trot vers la sortie de la cité, puis au galop jusqu'à Osgiliath.

Erion était rentré à la forge comme lui avait demandé son maître Thor. Le jeune garçon ouvrit la porte et pénétra dans la batisse. Une fois entré, il alluma les quelques lampes à huile installées ça et là et ne put s'empecher de sursauter alors que...

"Vous en avez mis du temps, mon garçon, dit une voix ténébreuse assise sur le siège de Thor face à son bureau, j'aimerais commander des armes."

Comment allait réagir le jeune palefrenier ?

Erion fût très surpris de la visite il ne s'attendait pas a trouver quelqu'un dans la maison fermée de Thor.

-Euh vous m'avez fait peur, que faites vous ici ?! Pour les commandes c'est à la forge pas dans la maison où vous êtes entré par effraction j'imagine !

Erion dégaina son épée et menaça l'étrange personnage lui intimant d'un geste du poignet de sortir sur le champ.

Tout les propos de l'homme surprenaient de plus en plus, il baissa son épée la mine déconfite, il ne sût que répondre sur le moment.
Enfin après avoir avaler ces nouvelles, et proposition il répondit troublé :

-Mais, euh vous me... c'est trop d'honneur,... Je ne peux pas accepter, Thor et comme mon père même si c'est un nain, il m'as tout appris, je ne peux pas l'abandonner.
Et vous savez, je sais forger mais pas totalement, je connais certains secrets de mon maître mais pas tous, il ne me faisais que faire le corps, c'est le plus gros, mais il s'occupais toujours de l'affinage ce qui est le plus important, sans ça l'arme de vaux rien elle se casse au premier choc !
Je ne sais pas, soyez plus convainquant et peut être vous suivrais-je.

Erion là, était sur le coup, très perplexe. Ce certain Nuilguard avait de très bon argument, par dessus le marché très convaincants.
Cet homme savait parler aux autre pour les manipuler avec des propositions alléchantes.

Erion ne tînt pas plus:

-Soit ! Vous m'avez convaincu, je vais vous suivre, mais je souhaite emmener mon armure que j'ai sur moi et mon épée.
Attendez moi ici je vais me chercher une tunique propre et une cape pour me cacher, personne ne dois savoir qui je suis et où je vais.

Erion s'en alla chercher les affaires pour le voyage à venir puis il revînt près...

*Parfait, ce petit va m'éviter de lui redire tout ça !!*

"Bien, allons-y. Deux étalons nous attendent dans l'arrièr cour."

Les deux hommes sortirent donc et se mirent à trotter, descendant les niveaux de la Cité Blanche. Arrivés au premier niveau, Nuilguard d'un signe de la main stoppa Erion.

"Utilisons une poterne discrète, la grande porte est encombrée. Notre départ doit rester un secret le plus longtemps possible."

Après plusieurs minutes de progression, les deux cavaliers passèrent à travers la poterne nord et purent dès lors s'éloigner tranquillement de Minas Tirith. Ils galopaient vers le Nord...