Après son escapade avec les "assassins", Rûdaz abandonna la poursuite au abord du palais. Bien que sa ne lui ressemble pas, il cessa la poursuite et retrouva son ami Baisheuin. Ils prirent tout deux un repos bien mérité et finirent le chantier quelques jours plus tard. C'était merveilleux, la beauté de la capital. Beaucoup d'ouvrier avez eu l'autorisation de s'y établir, mais Rûdaz et Baisheuin préféré une vie nomade. Le lendemain de l'inauguration, les deux ami se concertèrent :
"Bon. commenca Baisheuin. Qu'est-ce qu'on va faire maintenant?"
Après quelques seconde de réflexion, Rûdaz lui répondit :
"Sa fait un baille qu'on c'est pas fait une bonne baston!
-Ca y est, tu recommence. maugréa son ami.
-La terre du milieu pète le feu. On trouvera bien une ou deux baston bien sanglante!
-Ai-je le choix? râla de plus belle Baisheuin.
-Pas vraiment. répondit joyeusement Rûdaz.
-Toute façon, on doit d'abord renouvelé notre équipement.
-Si tu le dis.
-On pourra aussi aller voir ton père pour des chevaux.
-En voilà une bonne idée."
Les deux hommes s'éloignèrent et, estimant qu'il leurs faudrait un jour de voyage pour arriver chez Khûrgaz, ils entrèrent dans une petite taverne, déserte a cette heure. Rûdaz s'approcha du vieil homme qui semblait tenir la boutique et lui dit :
"Tavernier! Donnez nous un jambon, deux pommes et deux bouteilles de bières!"Baisheuin saisi Rûsaz par l'épaule. Ce dernier compris se que voulait son ami et, se retournant vers le vieil homme, déclara :
"Oublié les bouteilles. Disons de petit tonaux!"