[2 Mars 2009] Le conseil

Après avoir réussi à éviter la guerre, les Peuples Libres se réunirent à Amon Barad. Tous les hauts dirigeants de chaque état était présent. Tous s'assirent autour d'un grande table et le haut-roi du Gondor prit la parole le premier :

- Mes amis, nous sommes ici pour parler de la situation actuelle de la terre du Milieu. Nous devons clarifier la situation de chacun et envisager le pire pour l'avenir pour s'en prémunir plus aisément par la suite. Je vous laisse la parole puis j'interviendrais ensuite. Je vous écoute.

Elfwine, qui était alors assis au cotés de Cérion et d'Elemna, écoutait le discours de Valarion avec attention. Lorsque le roi du Gondor eut finit, il se leva pour prendre la parole dans l'assemblée :

- Cette guerre n'a pas eut lieu car il était en sous nombre. S'il demande la paix entre nos peuples autant aller jusqu'au bout, ne penser vous pas ? Je pense qu'il faudrait signer un traiter limitant les effectifs et la force des armées de Delekhan.

Elemna écoutait avec attention, ces deux compagnons parler tour à tour. A la proposition d'Elfwine, Elemna fit un hochement de tête et prit la parole.

-Je suis de l'avis d'Elfwine. Cependant, je ne pense pas que Delekhan l'acceptera aussitôt. J'ai peur, qu'il ne réagisse mal et qu'il ne revienne sur ces promesses... . De plus, il peut se laisser tenter par les envies de guerre de l'homme qui fit irruption lors de la négociation.

Elfwine qui avait écouté lentement Elemna et Cérion se rétracta et réfléchit un moment. Devant un nouveau silence il ajouta :

- Comment pouvons nous être certain que Delekhan ne reviendra pas lorsqu'il sera prêt ? S'il fait appel aux Haradrims et Orientaux dans quelques temps, il pourrait prendre confiance et n'hésiterait pas à revenir sur sa promesse. On ne peut l'arrêter, à vos dires mais on peut le surveiller. L'espion peut bien sur être utile dans cette situation, qu'en dites vous ?

Gendire, qui était resté silencieux dans l'expectative durant un certain bout de temps pour examiner la sitation et les avis des différents seigneurs et rois, prit la parole, d'une voix posée et grave :

"Cela fait tout de même des siècles que Rhûn et le Gondor sont en guerre. Même les alliés des deux camps se sont affronter. Un simple traité de paix est quelque chose d'envisageable mais il n'est pas sûr que quelque chose d'aussi simple suffise à calmer tant de haine gardée pour soi durant ces siècles. Seulement, nous risquer dans une telle guerre serait un conflit dont nous ne ressortirons pas vainqueur. Même si nous gagnons des batailles contre Delekhan et ses alliés, et même si nous parveons à tous les défaire, il y aura toujours un problème : le nombre. Les elfes se font de moins en moins nombreux en Terre du Milieu, de même que les nains. Les hommes ne pourront tout soutenir à la fois. A mon humbe avis, le meilleur moyen serait de tenir Delekhan par le collet. Lui laisser Amon Barad et ses troupes et faire presque de lui un allié. Il faut que ses anciens alliés se retournent contre lui. Si c'est le cas, nous regagnerons Amon Barad et ces terres, sans avoir versé une goutte de sang. Il sera peut êtr eprobable que notre ennemi sera affaibli, non ?"

Voyant que tous avaient pris la ârole au moins une fois, Valarion décida à son tour de répliquer :

- Vos avis sur la question semblent avoir été annoncé. Si je suis vos conseils, nous ne devrions pas laisser Delekhan en paix et contre-attaquer ou du moins le surveiller. Je suis de vos avis, c'est pourquoi j'ai réfléchi depuis quelques temps à un plan pouvant nous renseigner sur lui mais pour l'instant je préfère rester discret et ne pas vous en faire part.

Le roi se leva alors comme pour prendre plus d'assurance :

- Gendire, vous dites qu'il faudrait lui céder à nouveau Amon Barad. Selon moi nous ne devrions rien lui céder du tout. L'Ithilien est un avant-poste stratégique et sa perte a déjà failli nous couter nombre d'hommes. Je pense donc qu'il faut rester sur nos positions, préparer un plan de défense et pourquoi pas de contre-attaque. Je propose également de garder une garnison à titre permanent ici à Amon Barad. Une armée conséquente est nécessaire si nous voulons protéger ces terres et il va nous falloir renforcer les frontières au cas où. L'Anduin doit nous servir de rempart face au Mordor.
Au sud, Dol Amroth doit se tenir prêt à une attaque du Harad et doit donc renforcer ses forces militaires.
Au nord-ouest, le Rohan doit également se préparer à un départ rapide pour l'est afin de venir en renfort le plus rapidement sur le front. Votre cavalerie sera nécessaire pour gagner la victoire.
Ensuite les elfes de la Lorien devraient pouvoir également nous venir en aide en cas de besoin.

Valarion regarda chacun des protagonistes puis ajouta :

- Et vous, Gendire le Sage serait vous des nôtres dans ce conflit ? Je l'espère de tout coeur.

Le souverain se rassit alors posant ses coudes sur la table marbrée et appuyant sa tête sur ses mains. Il resta pensif un instant puis parla à nouveau :

- Seigneur Elfwine, je crois que votre dévouement et votre bravoure font de vous l'un des meilleurs combattants parmi les rohirrims. Le titre de roi de la marche reste vacant depuis la disparition du dernier en date, je pense que vous feriez un grand roi. De plus, cela faciliterait les rapports avec les autres peuples que de vous avoir comme roi.

Elfwine aquiesça d'un signe de tête et dit :

- Cette proposition me flate et m'honore et c'est pourquoi j'accepte ce rang de roi du Rohan. Je ferais un discours devant mon pleuple en rentrant.

Il y eu un silence prolongé avant que Elfwine reprenne :

- Maintenant pour ces mesures je suis totalmenent avec vous, Valarion. Et je pense qu'il ne faut pas laisser Amon Barad au main de Delekhan, se serait lui ouvrit les portes du Gondor à lui et à toute ses troupes. Personnelement, je posterais une garnison permante à Dunharrow prête à intervenir en cas d'appel. Utilisez les feux d'alarmes et le Rohan répondra présent.

Maradril, qui était caché une peu plus en hauteur à l'abris des regards avait entendu toute la conversation, venait le moment où Elfwine, flaté de son futur poste, donnait tous les conseils de précaution... Maradril sauta, et atterit au milieu des nobles personnes divaguant sur un sujet peu commun.

" Bien le bonjour messieurs et madame, Maradril s'inclina vers la princesse, comme messire Valarion a pu le constaté, sieur Délékhan c'était porté favorable à ma cause, hélas pour vous j'ai écouté votre misérable conversation, Maradril ricana, je vous propose donc deux choses: la première est de me laisser partir comme si de rien était et moi garant de messire Delekhan je lui annoce les nouvelles, soit, vous me payez pour garder votre petit secret et en echange je vous serai d'une aide précieuse.... "

[Bon là ça va pas. Maradril, c'est littéralement impossible que tu sois arrivé ici comme ça. Je veux bien que tu crées un rp pour essayer de venir jusqu'ici mais là non. Comment t'es entré dans Amon Barad sachant qu'il y a toutes nos armées présentes à l'intérieur ? Il y a plus de 15 mille hommes dans et autour de l'avant poste alors autant te dire que c'est quasiment impossible de ne pas se faire remarquer en moins de deux en essayant même de s'en approcher. Voilà je ne sais pas ce qu'en pensent les autres mais j'attends vos avis ]

Valarion a écrit:

[Voilà je ne sais pas ce qu'en pensent les autres mais j'attends vos avis ]

[Je suis du même avis pour ma part.]

Gendire répondit :

"Sire Valarion, je suis lié à Arda et Arda m'est lié. Je vous suivrai donc dans ce conflit. Pour ce qui est de mon idée de laisser Amon Barad à Delekhan, je m'incline. C'est à vous et entièrement à vous de décider de cela."

[ C'est fort simple, n'ai-je pas préciser au début de mes Rp que j'avait des compétences d'assassins non ? J'ai aussi que sur mon Rp j'était en hauteur, j'ai bien pu grimper par les toits et ariver en haut de votre conseil. Pour ce qui est des 15 milles hommes, je pense pas que le total de votre armée fasse 15 000 ? Et au pire sa tiendrait pas dans un avant-poste <----- litteralement impossible ]

[Tu as des compétences d'assassin certes, mais rien ne t'empêche d'etre découvert avant. De plus qui a dit que le batiment où on est avait des ouvertures sur le toit ? Il y a des gardes partout et on atteint largement les 15 000 hommes (moi déjà j'en ai 8000 + 3000 avec Cérion + 870 avec Gendire + 2000 avec Elfwine + 400 avec Elemna ça fait environ 15 000 et encore j'ai arrondi. Et je n'ai pas dit que les 15 000 hommes étaient tous dans Amon Barad le plus gros se trouve à l'extérieur tout autour donc encore plus impossible que tu es pu pénétrer dans Amon Barad. Les autres qu'en pensez-vous ?]

[ Pour l'armée j'avais pas vu que t'avais autant d'hommes désolé, mais je viens de vérifier j'ai du mal poster parceque juste avant le conseil j'avais mis que j'etais entrer discrètement entre les guerries du gondor, j'avoue que pour le coup c'est pas possible... Supprime les messages ]

- Bien. Je vais laisser ici une bonne partie de mon armée et je vais repartir à Minas Tirith. J'ai des choses à régler là-bas et qui plus est je vais recruter des troupes et les placer aux frontières du Gondor ainsi nous ne pourrons plus être surpris. Vous pouvez chacun d'entre vous rester en Gondor autant que vous voudrez mais je vous conseille tout de même de renforcer vos pays.

Valarion allait bientôt se préparer pour le départ.

Valarion avait réuni ses hommes et fit ouvrir la grande porte de bois et de métal de l'avant-poste. C'est alors que lui et tous les autres seigneurs virent un cavalier...seul. Le roi du Gondor s'approcha et lorsque celui-ci se présenta, Valarion lui répondit :

- Bonjour à toi, seigneur de Harad. Je ne savais point que ces terres étaient à nouveau dirigées par un roi. Je dois avouer que j'en suis quelque peu inquiet mais si vos dires sont exacts et votre parole d'acier alors je suis heureux de voir que nous avons un ennemi de moins.

Le roi attendait maintenant la réponse de ses alliés.

Elfwine qui était prêt à repartir s'était levé et vit arriver un homme du Harad. Celui-ci qui semblait être le nouveau seigneur de ces terres se présenta et Valarion l'acceuillit comme il lui était du. Elfwine s'avança alors vers Adrix :

- Enchanté de vous connaitre mais je ne peux rester plus longtemps en cette assemblé car j'ai un peuple qui m'attend impatiement, dit Elfwine avant de se retourner vers Valarion.En tout les cas, vous pouvez compter sur le Rohan dans l'avenir. Je posterez un millier d'hommes, principalement des rohirrims, prêts à intervenir en raison de guerre et de danger. Sur ce je vous laisse.

Elfwine salua les personnes encore présentes, et demanda à Gendire s'il voulait rester en Gondor, n'attendant pas sa réponse, il se dirigea ensuite vers Elemna pour lui faire le baisemain afin d'ajouter :

- Content de vous avoir connu.

Il retourna à la porte et enfila son casque pour rejoindre son armée. Un instant plus tard, on vit au loin un nué de chevaux et d'hommes s'enfuir vers le Rohan

Elemna aperçut un homme arriver au loin. Il échangeant quelques mots avec Valarion, et se présenta comme le roi du Harad. Puis, se fut au tour d'Elfwine de le saluer et expliqua, ensuite, qu'il devait repartir chez lui. Elemna en fut peinée car elle s'était attachée à cet homme. Il se dirigea vers elle, lui fit un baisemain et lui glissa quelques mots qui firent très plaisir à la jeune femme. Elle le remercia du regard, et espèrait de tout coeur le revoir très vite.
Puis, elle se dirigea vers Valarion qui était avec le dénommé Adrix.

Elemna:- Je suis heureuse de vous rencontrer! Je compte rester quelques temps ici, alors nous serons sûrement amenés à nous revoir. Ce sera un réel plaisir pour moi.
Elle marqua une pause, et reprit la parole.
Elemna:- J'ai recruté des hommes pour les poster aux frontières de Dol Amroth, sait-on jamais... .

Valarion se retourna vers la princesse Elemna lorsque celle-ci prit la parole. Il la regardait tendrement et se rendait qu'elle n'était pas qu'une simple princesse dans un drap de soie et d'or, elle semblait à l'aise dans le monde de la stratégie et de la politique. Il s'adressa ensuite à elle :

- Vos précautions à l'égard de Dol Amroth sont de bon aloi. Si vous souhaitez rester en Gondor, permettez moi de vous accompagner jusqu'à Minas Tirith.

Le roi reprit vers Adrix :

- Seigneur du Harad, je vous remercie de votre visite. Tant que votre peuple restera neutre à notre égard, vous serez le bienvenu sur ces terres. Sur ce, nous partons pour la cité blanche, des affaires urgentes m'y attendent.

Elemna répondit à la proposition de Valarion, par un signe de tête accompagné d'un très joli sourire.

*Une visite à Minas Tirith, et bien accompagnée qui plus est, ne se refuse jamais!*

Après que le roi est "congédié" Adrix, ils purent partir en direction de la citadelle blanche.