[6 Mars 2009] Conseil à Kharzal

[Cette scène se passe le lendemain du départ des assassins]

Après un lourd repos, et le poison de Rhamul disparu pour de bon, le roi de Rhûn invita les deux mages, les fiers soldats, et évidemment la reine à un conseil pour discuter de l'avenir de Rhûn...

" Mes amis avant de commencer, j'aimerais annoncer a Rudàz que je lui donne le titre de général de Rhûn pour son héroïsme et son courage, si vous le voulez bien évidemment... "

[ J'éspère que c'est pas trop mal perçu, mais vu que certaine personne on directement commencé le jeu par Roi, il est bien normal qu'après une telle scène il puisse avoir un meilleur titre que soldat ]

Lhunara regarda un instant Rudàz, qui s'était effectivement montré très brave lors de l'infiltration des deux assassins de la Gulde de l'Ombre. Elle répondit ensuite à son roi, Arkaneth toujours à ses côtés :

"Ce n'est pas à moi de donner mon avis, simple mage que je suis. Mais je suis d'accord avec vous, Votre Majesté. Le soldat Rudàz s'est montré brave et courageux, comme il se doit à quelqu'un de ce royaume..."

Lhunara avait prononcé ses dernières paroles d'un ton distant, comme si elle éprouvait de la solitude en ce royaume, ce qui n'était guère étonnant car elle était la seule elfe à Rhûn.

Rûdaz ne sut comment réagir à ce que lui annoncé le roi. Depuis longtemps il nourrissait de grandes ambitions, mais il ne s'attendait pas à ce que sa lui tombe dessus comme ça. En effet, il estimé n'avoir rien fait de plus que son devoir.
Regardant Baisheuin, il vit sur son visage que celui-ci était très heureux pour lui, mais déçu que le roi ne pense pas à lui. Puis, prenant une grande inspiration, Rûdaz adressa sa réponse au roi :

"Ceci est un bien grand honneur, sir. Je ne peut refusé cette offre. J'accepte. Toutefois, je ne me sens pas encore assez mûr pour prendre le commandemant d'une armée. Je vous demanderais donc de ne aps prndre le contrôle d'une armée, mais je vous jure que vous pourrez faire appel à moi en tout temps et en n'importe qu'elle circonstance. Lorsque je serais prêt, je viendrais vous demandé l'autorisation de prendre le contrôle d'une armée."

Rûdaz attendit la réponse du roi mais, voyant Baisheuin, il reprit avant que le roi n'est pu lui répondre :

"Autre chose. Excusez mon impertinence, mais je souhaiterais également, si vous m'accordez le grade que vous me proposez, pouvoir nommé mon ami Baisheuin au grade de commandant en second."

Puis Rûdaz et Baisheuin mirent un genoux à terre et attendirent, Rûdaz espérant ne pas avoir trop parlé.

Rhamul avait bien présenti la demande du soldat et d'un geste de tête acquiesa

" J'accepte ta requête, tu dit ne pas avoir l'éxpérience de diriger une armée mais c'est grâce a toi que je suis ici, ils auraient pu m'enlever et demander une rançon, je m'occuperais plus tard de ces assassins, je vais devoir me retiré quelques temps dans les montagnes ... J'ai... quelque chose a chercher,... une réponse à mes questions. Je te donnerai la garde du palais pendant mon abscence, si tu le veux bien, mon conseiller elfe, Theram, te guidera s'il se passe quelque chose. Je n'est pas assez de force pour garder cette défaite en mémoire.... "

Rhamul se dirigeait vers sa femme.

" Madame, je vient juste de vous retrouver et je doit déjà repartir, j'éspère qu'un jour nous pourrons passer un peu plus de temps ensemble..."

Rhamul attendait la réponse de Rûdaz...

Rûdaz se releva puis, osant regarder le roi dans les yeux, il lui adressa sa réponse :

"Je vous remercie de votre compréhension, sir. J'accepte de diriger le palais en votre absence, si ma reine, dame Anazul le veux bien. J'appliquerai vos instructions en votre absence. Toutefois, j'aimerais en savoir un peu plus sur vos intentions, sauf votre respect, mais savoir où vous allez vous retirez me permettrai de venir à votre rencontre si vous tardez trop longtemps."

Se tournant vers Baisheuin, Rûdaz ajouta :

"Si vous le désirez, mon second, Baisheuin, peut vous accompagné pour assurer votre sécurité. Il sait se faire discret et il ne risque pas de vous attirez des ennuis, je vous l'assure."

Baisheuin semblait à la fois touché et inquiet de se que proposa Rûdaz au roi. En effet, il ne s'était jamais éloigné de Rûdaz. Mais si le roi accepté qu'il l'accompagne, il sera à la hauteur da la tâche.

Rhamul hésitai a dire où il allait puis il se décida tout de même:

" Je vais partir à la recherche d'une créature de l'Ancien temps, à l'époque où mon maître traquait l'anneau de Sauron, je suppose que si elle vit encore elle doit se trouver quelque part dans les montagnes du Mordor près de Minas Morgul... "

Puis il se tourna vers Baisheuin

" Je ne vous séparerai pas car même si vous avez prouvé votre courage plus que le mien, vous ne pouvez rien contre cette créature,... Rûdaz, votre ami sera beaucoup plus utile pour vous que pour moi... "

Il regarda sa femme réstée muette

" Je partirais demain ou après demain, ma quête pourra durer un mois je pense au plus tôt... "

Avant que qui que soit d'autre ne parle, Rûdaz, toujours aussi soucieux de la sécurité du roi, repris :

"Fort bien, seigneur. Mais si dans un mois nous n'avons aucune nouvelles de vous, Baisheuin et moi même viendront à votre secours, et ce n'est pas discutable : vous êtes mon roi, et je me dois de vous protéger, bien que je ne mettent pas en doute vos capacité martial."

Puis il se tournat vers la jeune chaman, qu'il trouvait d'une beauté éblouissante et ajouta :

"De plus, si votre ennemi et si dangereux que vous le dites, j'emmenerais à ce moment la chaman, la très belle Lhunara, dont les capacités pourrai nous être fort utiles"

Anazûl ne trouvait plus les mots pour montrer sa déception. Son mari venait juste d'éviter la mort, et voulait déjà repartir. La nouvelle fut dure à encaisser, mais elle savait qu'elle ne pouvait rien dire pour le retenir. Elle le regarda nommer Rûdaz, et fut fière d'être la reine des Orientaux.
Elle s'approcha de Rûdaz et de Baisheuin, et afficha un sourire tendre.

Anazûl:- Félicitation à vous deux! Vous êtes des exemples à suivre pour tous els Orientaux... De plus, vous avez aidé à la survie de mon mari, et pour cela je vous serez éternellement reonnaissante, sachez-le!

Puis, s'adressant à Rhamul.

Anazûl:- Tu me manqueras... . Je suis sûre que tu arriveras à tes fins, mais surtout, surtout fait bien attention à toi!

Rhamul salua ses compagnons et discuta avec Theram de plusieurs sujets...
Il était parti se coucher, il partira dans 2 jours à la recherche du spectre ailée....

Une fois que Rhamul fut sortit, Rûdaz se tourna vers la reine Anazul afin de lui demander quelques conseils :

"Ma reine, tout d'abord, j'apprécie vos compliments, mais comme je l'ai déjà dit, j'estime ne rien avoir fait d'autre que mon devoir. Cepandant, j'aimerais que vous me guidiez dans la tâche que ma confier votre mari : je n'ai en effet aucune idée de ce que je dois faire pour diriger les orientaux en son absence. Vous devez connaitres les plan qu'il à pour Rhûn. C'est pourquoi je vous demande humblement votre aide."

Lhunara se tourna vers Rûdaz et lui sourit, remarquant au passage son regard et comprit que son charme était toujours aussi efficace. Elle répondit, fixant le commandant oriental :

"Je vous accompagnerais évidemment si Sa Majesté est en danger, général Rûdaz."

Puis, se tournant vers Anazûl :

"N'hésitez point à me faire chercher si vous désirze me parlez, Votre Majesté."

Lhunara s'effaça pour laisser la reine de Rhûn s'entretenir librement avec le commandant, restant en retrait dans l'ombre.

Anazûl s'approcha de Rûdaz et de son amie Lhunara pour leur parler. Elle était heureuse de savoir qu'elle n'allait plus être seule lors des nombreux voyages de son époux.
Elle s'adressa tout d'abord à Lhunara.

Anazûl:- Merci d'être présente pour moi, j'apprécie votre compagnie. Je vous ferai appeler si j'ai besoin de vous, ou j'irai tout simplement vous voir, quand l'envie me prendra.

La reine vit Lhunara s'écartait pour la laisser s'entretenir avec Rûdaz. Celui-ci semblait un peu préoccupé par l'absence du roi, et des tâches qui lui avait été donné.

Anazûl:- Sachez que je vous épaulerais toujours. Mais je suis sûre que vous allez très bien vous débrouiller! Vous me semblez sage, et puis votre ami Baisheuin sera là aussi. Je vais parler avec Rhamul pour ce qui est des projets à réaliser lors de son absence... mais je ne pense pas qu'ils soient de très grande envergure, si projets il y a! Je vous propose de dîner puis d'aller se reposer! Votre compagnie et celle de Baisheuin me seront très agréable, puis se retournant vers la jeune chamane qui se trouvait non-loin, elle ajouta, ainsi que la présence de Lhunara! Si vous êtes d'accord, bien sûr!

Rûdaz et Baisheuin s'inclinèrent légérement, puis Rûdaz répondit :

"Fort bien ma reine. Nous reparlerons de mes nouvelles fonctions au diner. Sachez que j'apprésie particulièrement l'importance et l'aide que vous m'accordez. Je pense que se conseil est terminé, ainsi, permettais moi de me retirer. J'ai des achats à faire, ma tenue n'est pas digne d'un officier. Faites moi quérir pour le dîner."

Rûdaz s'inclina à nouveau, puis sortit, Baisheuin sur les talons.

Lhunara s'inclina devant Anazûl et répondit :

"Bien sûr, Votre Altesse. Tout comme le commendant Rûdaz, je dois me retirer. Faites-moi appeler pour le dîner, je vous prie."

Rhamul, était parti, il avait laissé une lettre sur la table du diner:

" Mes amis, vous dire aurevoir m'aurais été trop douloureux, c'est pour cela que j'ai préferé la plume,... Ne m'attendais pas, je reviendrai dès que je pourrais. Theram, restera au palais pour soutenir mon nouveau général... Je confie, à la chamane, mes troupes, j'éspère qu'elle les soignera le mieux possible... Ma reine, ma sublime reine, prends bien soin de toi, j'éspère que tu ne tenteras pas mille prouesses, je n'ais pas envie de me retrouver veuf a mon retour,... J'éspère ne pas vous décevoir, moi, je le suis... Mon voyage sera dur et surement pleine de douleur... Aurevoir... "

Anazûl, depuis le départ de Rhamul, ne savait quoi faire. Elle parcourait la capitale, saluait les Orientaux, achetait ce qui lui plaisait, mais pourtant, elle s'ennuyait profondément.
Ce matin-là, elle décida que cette journée se passerait d'une autre façon que les précédantes. Elle fit venir une messager, et lui dicta ces quelques mots:

Chère Lhunara, cher Rûdaz,
Je vous invite à un dîner donné en votre honneur dans mon Palais. Theram, compagnon de Rhamul, se joindra peut-être à nous. J'attends votre réponse avec impatience,

Votre Reine, Anazûl.

Depuis le départ de Rhamul, Rûdaz n'avait pas fait grand chose. En fait, il ne savait pas quoi faire. Rûdaz avait beaucoup parler avec Theram, le conseiller du roi, mais il ne comprenait pas vraiment se qu'il devait faire. Lui et Baisheuin avait passer le plus claire de leurs temps à s'entrainer et à parler avec des soldats et des gradés. Rûdaz avait eu le temps d'organiser un concourt de combat, qu'il avait naturellement remporté.
Il fut donc très heureux lorsque un homme lui transmis un message de la reine, le conviant à un diner. Baisheuin et lui ne réfléchirent pas longtemps, et accéptèrent immédiatement.


Le soir venu, Rûdaz et Baisheuin se rendirent donc au palais. Si les deux amis était aussi enthousiaste l'un que l'autre, se n'était pas pour les même raisons : Baisheuin avait très faim, alors que Rûdaz avait hâte de s'entretenir avec la reine.

Une fois entrer dans le palais, un garde leurs dit d'attendre la reine dans le hall.

Anazûl fut prévenue que deux de ses invités étaient arrivés. Elle les avait attendu toute la journée, et était heureuse de savoir qu'ils avaient répondu favorablement à son invitation. Elle s'habilla de ses plus beaux vêtements qu'elle ne réservait que pour les grandes occasions, jugeant que ce dîner serait sûrement important. Par habitude, elle attendait que Rhamul entre dans sa chambre et lui fasse des compliments, compliments qu'elle adorait entendre surtout venant de son cher mari. Malheureusement elle se souvint qu'il était parti et en fut très déçue.

Elle arriva dans le hall, et découvrit avec joie les deux capitaines Orientaux. Elle s'approcha d'eux, et afficha un sourire resplendissant.

-Bonjour mes chers amis! J'apprécie énormément le fait que vous ayez accepté mon invitation. Lhunara n'est pas encore arrivée, mais elle ne devrait plus tardé... du moins je l'espère.
Que diriez-vous d'aller nous installer dans la salle?

Rûdaz et Baisheuin accéptèrent joyeusement, tout en faisant preuves du respect qu'il devait à leur reine. En entrant dans la salle du dîner, Ils déposèrent leurs armes dans un coin prévu à cette effet. Rûdaz garda tout de même sa dague : l'épisode des assassins lui était rester en mémoire, il ne voulait courir aucun risque.
Les deux amis prirent alors place, Rûdaz à la droite de la reine, Baisheuin à sa gauche. Alors que Baisheuin se jeta avidemment sur la nourriture, oubliant la politesse par la même occasion ( comme dit Rûdaz :"Quand Baisheuin a faim, il a faim" ), Rûdaz oublia tout le reste et contempla la reine pendant un moment. Lorsque celle ci s'en rendit compte, il devint tout rouge, se qui était accentué par ses cheveux blond. Il bafouilla alors un compliment, puis se mis à manger machinament se qu'il avait dans l'assiette.

Rûdaz brisa le silence au bout d'un moment, en demandant à la reine :

"Ma reine, rappelez vous, avant le départ de votre mari, je vous avez demandé quelques conseils concernant mon rôle, en temps que chef de la cité. Je ne sait toujours pas se que votre mari attend de moi. Peut être pourriez vous m'expliquer se que je suis censé faire ?"

Anazûl se trouvait assisse entre entre les deux soldats. Cette place ne pouvait que lui faire plaisir. Elle observa tout d'abord Baisheuin. Elle ne put réprimer un sourire quand elle vit Baisheuin se jettait avidemment sur la nourriture. Puis, elle se tourna vers Rûdaz, et s'aperçut qu'il la regardait. Il en fut gêné, murmura un compliment et finit par commencer à manger. Anazûl fut touchée par ses deux Orientaux, si différents, mais si proches. Elle se sentait à l'aise avec eux.
Rûdaz prit la parole au bout de quelques minutes de silence. Anazûl l'écouta jusqu'au bout, et réfléchit un peu avant de se lancer.

-Je suis consciente de vos inquiètudes, mais je crains de ne pas pouvoir vous aiguiller plus qu'il y a de ça quelques semaines. Rhamul est un roi attentif à son peuple, il y prête une attention spéciale. Il va à la rencontre des Orientaux. J'aime l'accompagner, et discuter avec les passants. Peut-être pourrais-je me joindre à vous lors de vos sorties? De cette façon, je pourrais vous apporter plus de réponses que maintenant. Je pourrais m'étendre un peu plus sur le sujet. Qu'en dites-vous?

Rûdaz écoutait attentivement la reine. Il est vrai que depuis qu'ils étaient monté en grade, il ne lui était pas venu à l'idée de descendre se méler au peuples. Baisheuin et lui n'avaient quasiment jamais quitté le palais. Rûdaz décida donc qu'il était grand temps de faire un tours dans la cité, et exposa ses intentions à la reines :

"Vous avez sans doutes raisons. Dès demain, Baisheuin et moi descendront dans la cité. Le peuples ne nous à que peut vu. J'en profiterai pour faire l'inspection des défenses de la ville. Et j'espère que vous pourrez vous joindre à nous, si le coeur vous en dis."

Ceci dit, il vida d'une traîte son verre de vin, et se dépécha de se servir un peu de volaille avant que Baisheuin n'engloutissent tout.

La soirée s'était passée à merveille. Les trois Orientaux avaient beaucoup discuté, et s'étaient amusé...du moins Anazûl s'était amusée. La jeune femme avait attendu toute la soirée l'arrivée de Lhunara, en vain.
Il se faisait tard, et la reine commençait à être fatiguée. Elle congédia Rûdaz et Baisheuin, et les invita à revenir le lendemain matin pour aller au contact du peuple, comme convenu.

Le lendemain, Anazûl se réveilla aux aurores. Elle était d'humeur joyeuse, encore animée par l'ambiance amicale du dîner de la veille. Ayant mangée copieusement le jour précédent, Anazûl se passa de déjeuner, et se prépara rapidemment. Elle était seule dans sa grande chambre. La lumière éclairée toute la pièce, lumière blanche et froide, celle d'un matin pluvieux. Anazûl ouvrit la fenêtre et respira l'air frais. Elle ressentait un peu de nostalgie, et son moral en prit un coup. Secouée par ses tristes pensées, elle referma le carreau, et sortit promptement de sa chambre.

Ne sachant pas où attendre Rûdaz, elle s'appuya contre la porte principale du palais attendant la venue des deux soldats.

[Peut-être qu'il faudrait créer un nouveau sujet ? Qu'est-ce que t'en penses?]

[ Ta raison je vais créer un nouveaux sujet : sa n'a plus rien a voir avec "un conseil" ]