[26 Juin 2008] La surprise

Anazûl et les autres orientaux étaient maintenant tout proche du sud de la forêt noire. Ils s'étaient levés tôt pour pénétrer dans la forêt le plus vite possible.
Anazûl voulait en finir avec cette expédition contre les elfes et repartir dans le Rhûn rapidement. A son arrivée dans la forêt, elle aperçu la forteresse de Dol Guldur. Un détail lui avait échapper, cette forteresse était garder par "le mal". Au lieu de rencontrer des elfes, elle risquer de rencontrer orc et troll. Elle préféra prévenir son groupe.

Anazûl:- On nous a trompés! Aucune attaque n'était prévue contre notre groupe. Impossible de faire demi-tour maintenant sans être repéré. Nous allons commencer à battre en retraite mais nous serons probablement attaquer avant notre arrivée à Rhûn. Que se soit par des orcs ou des elfes, battez-vous comme des Orientaux.

Comme elle l'avait prévue, elle rencontra des elfes de passage. Mais à son grand étonnement aucun orc ni troll. Elle préférait largement des ennemis comme les elfes. Anazûl et les orientaux devaient approcher le nombre de 15 et les elfes qui leurs faisaient fasse n'étaient pas nombreux.
Elle s'arma de son arc et tira quelques flèches en essayant de viser les elfes qui lui paraissait les mieux entraîner. Elle en atteigna deux mais fut toucher par une flèche à la cuisse. Rien de grave, heuresement.

Anazûl:- Avons-nous perdus des hommes ?
Oriental:- Deux hommes.
Anazûl:- Hum... cela est dommage de perdre des hommes par la faute d'un petit elfe trompeur. Notre haine pour eux n'est que plus grande à présent. Repartons chez nous.

Après quelques heures de marche, ils sortirent de la forêt et trouvèrent un petit camp à l'abandon. Ils décidèrent de dormir ici et de repartir promptement le lendemain. La nuit sera courte.

Anazûl fut réveillée au milieu de la nuit, il devait être 1h45 du matin. Un de ses hommes était paniqué et essayé de lui parler.

Anazûl:-Calmez-vous! Je ne comprend pas un traite mot de ce que vous me dites.

L'oriental se calma reprit sa respiration et commença son récit.

Oriental:- Je suis désolé de vous réveiller à une heure pareil mais...
Anazûl:-Passons les excuses, venez aux faits.
Oriental:- J'étais en train de faire la garde comme vous me l'aviez demandé hier avec deux de mes amis, quand j'entendis un cri de l'autre côté du camp. Je m'approchai, et découvrit les deux Orientaux qui surveillaient avec moi, morts, une flèche plantait dans la poitrine dans chacun de leurs corps inanimés.
Anazûl:-Cela c'est passé il y a longtemps?
Oriental:-Non, juste maintenant! Je suis venu tout de suite vous chercher.
Anazûl:-Bien. Avez-vous vu les assassins ?
Oriental:-Non, comme je vous l'ai dit j'étais posté de l'autre côté du camp.
Anazûl:-Nous sommes sur les terres des elfes. Notre présence ne doit pas être approuvé. Préparez les hommes, nous allons passer à l'attaque puis partir pour Rhûn.

L'oriental, qui se pénommait en faite Zûlul, vint quelques minutes plus tard pour anoncer à Anazûl que ses quinze hommes étaient prêt. Anazûl fut la première à s'approcher des deux corps Orientaux. Ils étaient placés juste à côté d'une petite forêt, très pratique pour se camoufler. Alors Anazûl décocha trois flèches au hasard et entendit deux cris sourd. Il n'y avait aucun doute ils étaient là. Apparurent sept elfes. Le combat commençait.
Anazûl enchaîna deux tirs de flèches. Sur les deux elfes visaient, un seul mourut sur le coup l'autre touché à l'épaule gauche, juste au-dessus du coeur qui était la cible d' Anazûl, avançait vers elle. Il était maintenant trop proche d'elle pour qu'elle lui décoche une flèche. Alors, elle se saisit d'un de ses dagues qu'elle planta dans l'ennemi face à elle. Le coup atteignat l'elfe mais malheuresement trop tard, Anazûl se fit blessé sur le flanc droit. Cet espace n'est pas protéger par son armure qui lui dévoile le ventre. Il ne restait plus que deux elfes et le combat serait gagné par les Orientaux. Anazûl laissa les ennemis restant à ses hommes et alla se reposer un peu plus loin. La blessure n'était que superficiellle, mais ce n'est jamais bon de se faire blesser. La victoire revint aux Orientaux.

Anazûl:-Nous nous sommes bien débrouillés! Reposons-nous deux ou troise heures puis nous repartirons vers Rhûn.

Anazûl, Zûlul et les autres Orientaux se reposèrent quelques heures.

Anazûl:-Nous avons encore perdu des hommes.
Zûlu:-Oui, deux sont morts dès le départ, puis lors du combat nous avons perdu quatre hommes.
Anazûl:-Nous ne sommes plus que neuf. Il est grand temps que nous repartions vers Rhûn. Le groupe étant affaibli, je pense que nous n'arriverions que dans deux jours à Rhûn.
Zûlul:-Votre blessure n'est pas trop profonde ?
Anazûl:-Non. Ce n'est rien. Merci de vous en être informé.

Après avoir mangé quelques restes, ils partirent vers Rhûn. Ils révaient d'un bon repas. La marche devenait lassante. Ils s'arrèrent souvent ce qui retarda de quelques heures leurs parcours. Le soir venu, ils n'avaient pas assez de force, ou peut-être de courage pour construire un camp. Ils dormirent dehors, les yeux rivés sur le ciel. Anazûl avait posté deux hommes, et priait pour que rien ne la réveille cette nuit.

La nuit avait été calme. Les neuf Orientaux se réveillèrent et se mirent en marche pensant partir vers Rhûn. La journée précédante a été forte en rebondissements et ils s'étaient enfoncés profondément dans la forêt. Ils ne se rendirent compte qu'ils étaient à l'opposé de Rhûn qu'après être sortis de la forêt. Ils avaient traversé Dol Guldur la veille, et se trouvés maintenant devant le grand fleuve Anduin.

Anazûl:-Notre sens de l'orientation n'est pas notre fort apparement! Aucun doute, nous sommes dans la mauvaise direction.

Chacun se reagardait sans dire un mot. Tous étaient fatigués et ne pensaient qu'à rentrer. Un oriental prit la parole.

Oriental:-Je propose de continuer dans cette direction. Nous trouverons sûrement une quelque conque habitation pour nous héberger pour une fois ou plusieurs nuits.

Anazûl:-Je suis de votre avis. Nous verrons demain, s'il nous faut repartir ou continuer notre chemin jusqu'au pays de Dun où j'ai des connaissances.

Sur ce, ils continuèrent de marcher. Ils longèrent le fleuve afin de trouver un moyen de traverser. Ils virent un pond, l'empruntèrent et aperçurent un petit groupe de personnes. Anazûl les interpella.

Anazûl:-Excusez-moi. Pourriez-vous nous héberger une ou deux nuits tout au plus. Nous nous sommes égarés.

Inconnu:-Nous n'acceueillons pas d'étrangers !

Devant la froideur de cet homme Anazûl passa son chemin.

Anazûl:-Notre venue n'est pas très approuvée. Je propose que nous continuons notre chemin. Peut-être que quelqu'un de plus civilisé que ces personnes nous aiderons.

Après trois refus consécutifs, les Orientaux n'en pouvaient plus. Faire demi-tour était la meilleur chose possible.
Quand ils allaient rebrousser chemin, l'inconnu de la première rencontre réapparut.

Inconnu:-J'ai changé d'avis. Venez chez moi.

Après quelques regards échangés, les Orientaux acceptèrent. Anazûl n'avait aucunce confiance en vers ces étrangers. Mais leur proposition ne pouvait être refusée.
La nuit venait de tombé, et après un dîner copieux, ils allèrent se coucher. Anazûl avait demandé à trois de ses hommes de garder un oeil ouvert cette nuit, sur les hommes qui les hébergaient. Se brusque changement d'avis ne lui apporté aucune confiance. Et ses craintes étaient fondées.

Il était à peu près 4h00 du matin, quand les Orientaux furent réveillés par un bruit sourd. Anazûl aperçu l'inconnu qui l'héberger une dague à la main, plantait dans le corps de Zûlul, un de ses amis orientaux. Il n'était pas seul, et deux bourses pendouillaient à sa ceinture. Ce qui signifiait qu'il avait récolté l'argent des Orientaux pendant leur sommeil. Déjà, deux corps étaient au sol, gisant dans leurs sang. Pris par surprise, les compagnons d'Anazûl qui montaient la garde, ne purent se défendre.
Anazûl s'arma de son arc et tira une flèche, celle-ci élimina un homme qui se penchait sur un cadavre afin de récupérer ce qui pouvait l'être. Elle voulut enchaîner un deuxième tir, mais par manque d'expérience râta sa cible et la flèche alla se plantait dans le sol à plus d'un mètre de la personne visait. Anazûl était fatiguée, se détail avait son importance. Les ennemis n'étaient que quatre et les Orientaux six. Depuis le départ de Rhûn leurs nombres n'avaient pas cessez de chuter.
Au bout de cinq longues minutes d'acharnement, il ne restait plus d'ennemis.

Anazûl:-Ce voyage a été un échec du début à la fin!
Nous avons perdu une dizaine d'hommes et je crains que ceux qui reste sont pour la plus tard blessés.

Oriental:-Effectivement, quatre des orientaux restant sont morts. Par contre, en ce qui concerne les blessés, on peut dire que nous nous en sortons bien! Deux des hommes ont légerment étaient atteint, mais rien de grave.

Après ce bilan, qui était tout à fait désastreux pour Anazûl, ils repartirent au point de départ: "Il faut que nous marchons jusqu'à Rhûn."
Ils prirent deux chevaux qui appartenés aux inconnus ainsi que la somme de 700£. Cette somme allé leurs payer un bon repas. Tout le monde se mirent en route. Après plusieurs heures de marche, ils décidèrent de se reposer et de dormir un peu. Enfin une bonne nuit de repos s'annoncer.