[03 décembre 2008] Espionnage...

Je fit signe à Kaleth qu'on pouvais y aller, je sortis aussitôt mon poignard, et le suivit d'un pas léger.
A hauteur du garde je lui dit: "Il est à moi."
Je pris le garde par le cou et lui enfonça mon poignard dans la gorge sans le tuer, avec mon avant bras sur la bouche pour l'empêcher d'urler.
Puis rapidement je le traîna dans l'ombre pendant que Kaleth, couvrait mon retrait.
"On l'interroge ou je le tue ?"

Dans la langue du pays que je connaissais plutôt bien je m'adressa au garde:

"Tu es sur le point de mourir si tu ne me répond pas je t'achève et si tu me répond je te sauverrais la vie, un sourire pointa au coin de mes lèvres je savais bien que ce n'était pas possible mais il fallait le convaincre,
si je te laisse la vie sauve tu sera libre d'aller prévenir ton roi mais nous serons déjà loin."

Du sang chaud coulait le long de son cou et sur mes mains, dans un murmure il me dit qu'il savais que cette ville serait leur capitale, et qu'il était charger de la garder.
Il ne put en dire plus car la mort l'emporta vers l'autre monde aussi rapidement qu'il été né.

"Nous ne pouvons pas en tirer plus il est mort, cachons le corps et continuons notre reconnaissance."

Kaleth était près a tuer le garde, mais attendais que je lui donne mon avis.

"C'est a ton tour de l'intérroger, je ne sais plus quoi poser comme question, a mon avis il te comprendra. S'il ne comprend pas je ferais la traduction..."

J'attendis tapis dans l'ombre et toujours aux aguet près a frapper un adversaire s'il le fallait.

- So..son palais est là..là-bas.

Le garde montrait du doigt le palais qui se trouvait en plein coeur de la capitale il y avait à peine 700 mètres jusque là-bas...


[petite info : Rhamul ne se connecte plus mais je peux m'occuper de jouer le rôle...]

[ce sera parfait, on compte pas le tuer, seulement espionner ^^]

Kaleth dévisagea le garde, et, faisant mine de partir, se retourna cependant et l'assomma de la garde de son épée...

Orlan et lui partirent donc vers le palais...

Bien que seulement 700 mètres ne nous séparais du palais, les traverser ne serais pas une mince affaire.
En effet cette zone grouillais de soldats et d'ouvrier.
Je regarda autour de nous pour trouver une solution.
Mes yeux se posère sur un échafaudage où aucun ouvrier ne se trouvait. Je le montra du doigt a Kaleth et dit:
"Nous ferions mieux de passez par là c'est plus sûr. Je me demande pourquoi les ouvrier travaille même de nuit, la construction de cette capitale doit vraiment être importante aux yeux de Rhamûl."
On se dirigea alors vers les échafaudages tout en restant sur nos gardes.

Après leurs combats face au sentinelle, Rûdaz et Baisheuin s'éloignèrent du quartier marchand, se retrouvant au abord du palais, en construction même la nuit. Ils marchaient dans une ruelle, lorsque deux ombres passèrent sur les échafaudages. Rûdaz leurs cria de s'arrêter, mais les inconnus continuèrent leurs route en courant. Rûdaz se lança immédiatemment à leurs poursuite, suivi de près par Baisheuin.

Pendant notre course vers le palais je vis deux sentinelles qui nous avait repérer.
Je dit à Kaleth: "Nous avons deux poursuivants je propose qu'au prochain segment d'échafaudage on s'arrête et on le fait tomber sur eux soit pour s'en débarasser soit pour les ralentir et ainsi les semer."

Orlan et Kaleth se positionnèrent donc de chaque côté de l'échafaudage, Rudaz et son ami leur couraient après jusqu'alors. Soudain les deux assassins dégainèrent leur lame et frappèrent l'échafaudage.

Tout le système de poulis, de planches et de barres de fer s'effondra, plus efficacement du côté de Orlan (loi des dés). Les deux hommes repartirent alors en courant sur les toits.

C'était à Rudaz et Baisheuin de jouer...



[C'est à Rudaz de poster, suivant ton action tu peux éviter d'être bloquer par l'échafaudage et continuer la poursuite, les dés en décideront^^]

Alors qu'il courait, Rûdaz vit avec horreur l'échafaudage s'éffondrer juste sur lui. Il savait que Baisheuin serait sans doute bloqué, mais lui pouvait encore tentait de rattraper fuyards. Alors que les poutres de bois s'approchait dangereusement de sa tête, il se jeta en avant le plus loin possible dans l'espoir de continué la poursuite.

Rûdaz comprit rapidement que sa seule chance était de sauter vers l'avant, ce qu'il fît prestement.

Il parvint à passer de l'autre côté des décombres mais fut retardé par une poutre de bois qui lui bloqua la jambe. L'oriental se dégagea rapidement bien qu'avec une petite douleur puis se releva pour reprendre la chasse. Malheureusement, les deux personnes qu'il suivait avaient disparu pendant ce temps. La seule chose qu'il savait c'est qu'ils se dirigeaient vers le centre de la ville où se trouve le palais.

Rûdaz rageait et maudissait ces assassins, quoiqu'il commençait à se demandé si se n'était pas des spectres. Baisheuin était bloqué de l'autre coté. Mais Rûdaz ne pouvait accepter la défaite, il s'adressa alors à son ami :

"Baisheuin ! Je continu la poursuite. On se retrouve au abord du palais.
-Attend !!"esseya de protesté son ami, mais il s'enfuit en courant en direction du palais. Si la chance lui sourit, il arrivera peut être à les rattrapés.

Après cette petite poursuite je m'arrêta, rejoint Kaleth, et dit:

"On fait quoi maintenant ? Les gardes vont surment donner l'alerte, que propose tu ?"

Rûdaz arriva en courant devant le palais et tomba sur trois garde, étonné de voir un soldat du chantier déboulé aussi rapidement. Rûdaz, reprenant qon souffle, s'approcha des hommes :
"Ecoutez, il y a des intrus dans la ville. Des ombres que nous avons poursuivi, moi et un de mes ami, mais il nous on fait tombé un échaffaudage dessus. Mon ami arrive. Ces hommes se dirigaient vers le palais, ils sont peut-être venu tué le roi pu je ne sais quoi et..."Rûdaz s'interrompit en voyant le visage incrédule des soldats, qui n'arriver pas à le suivre. Un officier arriva alors, en demandant se qui se passait. Les gardes lui reportèrent les propos qui leurs parraissait être incohérent de Rûdaz. Tout en écoutant, le chef dévisagé Rûdaz d'un air mauvais. Rûdaz commençait à stressé. Si l'officier ne le croyait pas, non seulement les deux assassins pourront accomplir leurs sombres besogne, mais il risquait en plus de se retrouver en prison. Rûdaz attendit alors anxieusement la réponse du chef.

L'officier resta d'abord silencieux puis s'adressa à Rûdaz :

- Soldat, merci d'être venu nous informer de cela. Vous pouvez retourner à votre travail, je vais faire ce qu'il faut pour vérifier vos dires, s'ils se révèlent exacts vous serez grandement récompensé mais si ce ne sont que illusions, vous en paierez le prix. Allez maintenant et continuez de monter la garde.

Le capitaine fit demi-tour et pénétra dans le palais avec ses lieutenants, ils avaient l'air de discuter. Les trois gardes reprirent alors leur travail de surveillance.

[Désolé quelques petits problèmes...]
Les gardes étaient partout, il serait dur de traverser, pour allez jusqu'à la salle du trône.

"Je suis d'accord pour y aller mais c'est toi qui ouvre le chemin, je te suis, mais j'ai vu un balcon a l'extérieur du batiment qui ouvre certainement sur la chambre du roi, ne vaudrait t'il pas mieux que l'on passe par là ? Escalader sera plus facile que de se déplacer parmi tout ses gardes..."